SEVRES.FR
La Pagode gingembre, la petite dernière de la gamme de bières de la microbrasserie Rive droite Rive gauche a été brassée ce mois de novembre.
Pourquoi ce nom ?
L’association du gingembre et de l’Asie semblait une évidence. Cette bière blonde tire son nom de la pagode Tinh Tam située à Sèvres, rue des bois.
Au détour de cette petite rue en sens unique vous vous retrouvez transportés en plein cœur du Vietnam.
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.
Les 27 et 28 novembre 2021 – De 14 h à 19 h à la galerie Alphonse-Loubat – 9, Grande-Rue.
Organisé par le Groupe d’Animation des Bruyères.
Vendredi 3 et samedi 4 décembre 2021.
La Ville donne rendez-vous aux petits comme aux grands vendredi 3 décembre à partir de 19 h 30 devant l’hôtel de ville. Le lendemain, grand feu d’artifice au square Carrier-Belleuse à 18 h 30 !
Vendredi 3 décembre
La Fête des Lumières retrouve son format d’origine, suspendu l’an dernier en raison de la pandémie de Covid-19.
De 18 h 40 à 20 h, une déambulation lumineuse est organisée à partir des points de rendez-vous habituels. Des lampions seront distribués aux participants. Un tutoriel pour la réalisation de votre propre lampion est disponible ci-dessous.
À partir de 19 h 30, le conservatoire de Sèvres animera musicalement ce début de soirée. Le maire donnera le coup d’envoi de la projection, réalisée par des étudiants de l’école des Gobelins, à 20 h 15.
Un spectacle son et lumière clôturera la soirée.
Samedi 4 décembre
Le lendemain, samedi 4 décembre, un feu d’artifice est lancé à 18 h 30 square Carrier-Belleuse.
Ces deux soirées viennent lancer les festivités de Noël.
Le port du masque est obligatoire.
Samedi 27 novembre 2021 – De 9h30 à 14h à l’esc@le.
Cette formation de 4 h, effectuée par la Croix-Rouge, s’adresse aux personnes en contact régulier avec de jeunes enfants (parents, futurs parents, baby-sitters…). Au programme : connaissances des risques, sur-accidents et pratique des gestes adaptés à l’âge de l’enfant.
Nombre de places limité.
Participation : 10€
Inscriptions obligatoires à l’esc@le.
Le musée national de céramique prépare une vision nouvelle de ses collections de porcelaine et faïence, et une mise en valeur des oeuvres modernes de la manufacture de Sèvres. À cette occasion, la Société des Amis vous propose de l’aider à financer la restauration d’oeuvres exceptionnelles.
Un vase de provenance royale
Rescapé des bombardements de 1942, le modèle de ce vase de grande taille est tout à fait exceptionnel : seulement trois exemplaires ont été produits. Réalisé en porcelaine dure, il présente sur la face principale un paysage peint par Pierre-Joseph Rosset (actif de 1753 à 1795) et un bouquet de fleurs sur le revers. La riche dorure composée de rinceaux feuillagés et de guirlandes de fleurs fut appliquée par le doreur Vincent (actif de 1753 à 1806).
Budget restauration : 10 000 euros
Une garniture appréciée par Louis XVI
Cette forme singulière de vase très élancée existe en plusieurs tailles avec quelques variantes. Ici en deuxième et troisième grandeurs, chaque vase avec deux anses à anneaux montre une panse circulaire avec des réserves
à sujets militaires, et sur la face opposée des trophées. Les godrons, arabesques et guirlandes peints à l’or par les doreurs Vincent (actif de 1753 à 1806) et Buteux (actif de 1765 à 1780) se détachent de la blancheur de la porcelaine dure commercialisée à Sèvres depuis 1773. Aujourd’hui,
les restaurations anciennes ont besoin d’un nouveau traitement pour redonner tout son éclat à cette splendide garniture.
Budget restauration : 10 000 euros
Une scène chinoise en carreaux de Delft
Ce panneau fait très certainement partie d’une série de plus de mille carreaux, commandée par un architecte français, François de Cuvilliés (1695-1768) pour orner la résidence de Munich de l’archiduc Charles-Albert de Bavière (1697- 1745). Ils ne furent pas utilisés mais une partie fut incorporée à la cuisine d’Amalienburg, pavillon construit dans le parc. Il mérite de retrouver sa palette de couleur riche et brillante, au bleu si caractéristique.
Budget restauration estimé : 25 à 30 000 euros
Instagram : amismuseesevres
Youtube : Société des Amis du musée national de Céramique
Avis aux copropriétaires qui souhaitent réaménager leur parking extérieur ou restaurer leur toiture : et si vous en profitiez pour les désimperméabiliser ou les végétaliser grâce aux financements de l’Agence de l’Eau Seine Normandie ?
Avec l’imperméabilisation croissante des sols, les territoires urbains se trouvent régulièrement confrontés à des débordements de leurs réseaux
d’assainissement en périodes d’orages. Cette imperméabilisation des villes accentue également le phénomène d’îlots de chaleur urbains (ICU).
Or favoriser l’infiltration et la réutilisation des eaux pluviales à l’échelle de sa copropriété et profiter d’abords plus verdoyants, c’est possible !
Plusieurs solutions existent :
– végétaliser sa toiture permet d’absorber une quantité importante des eaux pluviales ;
– il est également possible d’installer des cuves de récupération des eaux de pluie ;
– si la copropriété possède un parking extérieur, vous pouvez en désimperméabiliser les sols.
Plusieurs techniques existent : créer des noues végétales centrales ou latérales qui récupéreront les eaux de ruissellement, utiliser des revêtements poreux pour les places de stationnement.
En plus de l’atout esthétique d’un parking plus végétal, ces solutions favorisent une infiltration naturelle de l’eau de pluie jusqu’à la nappe phréatique.
Quelles sont les subventions possibles pour un tel projet ?
L’Agence de l’eau Seine Normandie finance les projets de gestion à la source des eaux de pluie sur votre commune. Le montant d’aide maximale envisageable dépend de la surface qui sera végétalisée après les travaux (24 €/m² ou 80 €/m²).
Quelques critères d’éligibilité sont cependant à respecter, vous trouverez tous les détails dans la brochure disponible dans le centre de ressources du CoachCopro :
gpsoe.coachcopro.com
Pour toute question, et pour bénéficier d’un accompagnement gratuit dans votre projet d’aménagement, n’hésitez pas à contacter l’association Espaces :
julien.dibilly@association-espaces.org.
Et pour tout projet de rénovation énergétique en copropriété, rendez-vous sur Seine Ouest Rénov’, le guichet unique de la rénovation énergétique de Grand Paris
Seine Ouest : seineouest.fr/renov
Infiltration des eaux de pluie et végétalisation : une combinaison gagnante !
Favoriser l’infiltration des eaux de pluie permet d’améliorer la gestion des eaux en ville. En effet, en plus d’être stockées, elles sont dépolluées par les organismes vivants présents dans les différents milieux traversés lors de l’infiltration. Les sols en bonne santé deviennent alors un habitat pour la biodiversité. De plus, l’évapotranspiration du sol et de la végétation contribuent à lutter contre les effets des îlots de cha leur urbains.
Chaque année, nous commémorons le 11-Novembre, signature de l’Armistice de 1918. Mais quel fut l’impact de la Première Guerre sur Sèvres ?
La ville qui comptait près de 10 000 habitants en 1914, a recensé 357 militaires morts au champ d’honneur et 23 décédés suite à des blessures ou maladies contractées aux armées mais il y a eu bien plus de Sévriens qui ont disparu sur les champs de bataille, même si cela n’a jamais
pu être quantifié. La ville, à travers plaques et monuments, rend hommage, ici et là, à ses victimes de la Grande Guerre.
Sur le mur de l’escalier d’honneur de la Mairie, une plaque recense les Sévriens Morts pour la France en 1914-1918, une autre est dédiée aux sapeurs-pompiers Morts pour la France en 1914-1918. A l’école Gambetta, une plaque est dédiée aux instituteurs de Seine-et-Oise et aux enfants de la commune morts pour la patrie. Dans la crypte du cimetière de Sèvres se trouvent les plaques commémoratives listant les soldats décédés lors de la Première Guerre mondiale.
Au cimetière de Sèvres, trois des quatre monuments aux morts existants concernent la Première Guerre mondiale : le monument à la mémoire des enfants de Sèvres morts pour la France, le mausolée perpétuant le souvenir de neuf soldats décédés dans les hôpitaux de Sèvres pendant la guerre et le caveau à usage d’ossuaire pour les anciens combattants. Le monument le plus important a été décidé dès 1915. Le Maire, Henri Ganet, obtient du Ministre des Beaux-Arts, sa participation à l’érection, au cimetière, d’un monument à la mémoire des enfants de Sèvres morts pour la patrie pendant la guerre de 1914-1915. Le projet est dressé par Alexandre Sandier, directeur des travaux d’art à la Manufacture. Ce monument est inauguré le 6 octobre 1929 puis restauré et remanié en 1989. Dans la crypte située sous le monument reposent notamment 56 soldats tués pendant la Première Guerre mondiale.
Le parcours d’un Sévrien mort pour la France
Louis Victor Guillemain est né le 20 octobre 1882 à Sèvres, au 110 Grande Rue, de Louis Guillemain, serrurier en voiture et Alexandrine Vernois repasseuse.
Il a eu plusieurs frères et soeurs, tous nés à Sèvres entre 1880 et 1899. Il a aussi pour cousin Léopold Raymond Guillemain qui fut adjoint au maire de Sèvres entre 1964 et 1970.
En 1892, son père, Louis Guillemain était batteur de pâte à la manufacture de Sèvres.
Louis Victor Guillemain se marie le 1er juin 1907 à Sèvres avec Marthe Bourbion. Ils auront un fils en 1908 prénommé Raymond. A cette époque, Louis Victor Guillemain est journalier et est domicilié au 15 rue des Caves.
Après avoir divorcé, Louis Victor Guillemain se remarie le 8 août 1914 avec Fernande Marchal. Ils auront un fils, Jean, née en 1915. Avant de partir sur le front, Louis Victor Guillemain était agent de police au commissariat de Sèvres.
En 1915, Louis Victor Guillemain est mobilisé en tant que canonnier dans l’artillerie lourde. Le 18 Février 1915, il quitte sa caserne de Vincennes et commence à tenir un carnet de route. Il se rend avec son régiment dans l’Aube et progresse vers l’Est. Le 22 mars 1916, dans la forêt de Hesse en Moselle, Louis Victor Guillemain écrit ses dernières lignes dans son carnet. Depuis 5h du matin son régiment est « marmité ». Louis Victor Guillemain est alors tué d’un éclat d’obus.
L’association franco-allemande de Sèvres (AFAS), association sévrienne créée en 1990, propose diverses activités culturelles destinées à mieux connaître la richesse culturelle de l’Allemagne, premier partenaire économique de la France.
Vous souhaitez booster l’avenir de vos enfants, leur donner les clés du succès et de l’épanouissement personnel ?
Alors, dès leur plus jeune âge, permettez-leur de s’ouvrir sur le monde.
L’association vous propose :
• d’aider vos enfants à mieux structurer leur pensée, et leur apporter
des méthodes de travail
• de leur apprendre, via des activités ludiques, une langue rigoureuse,
parlée par près de 130 millions de personnes de par le monde
• d’apprendre avec plus de fluidité ensuite ou en parallèle l’anglais, et
toutes les langues « latines »
• de permettre à vos enfants, l’allemand en poche, d’accéder au marché tendu de l’emploi en Allemagne, et dans toute l’Europe.
Il n’est pas nécessaire de connaître l’allemand, pour rejoindre l’Association Franco-Allemande de Sèvres. Vous avez 6 ans ou plus, lancez-vous ! Vous pouvez participer aux cours pour enfants, adolescents ou adultes, à la Maison des Associations de Sèvres, ou aux activités culturelles et aux conversations.
Pour plus de renseignements :
afas@gmx.net
https://sevres-associatif.fr/afas/
Réunion d’information le 27 novembre 2021.
En suivant le cursus germanophone aux SIS, du CP à la terminale, les élèves de langue maternelle allemande ou française naviguent entre deux mondes : d’une part un continent français connu et repéré et des îles allemandes avec une pédagogie quelque peu différente.
Les objectifs : bilinguisme et biculturalisme
En parallèle de l’enseignement français à l’école primaire, au collège et au lycée, les élèves de la section germanophone suivent des cours de langue-littérature et d’histoire-géographie en langue allemande dispensés par des professeurs natifs. Ils y préparent également leurs examens et des voyages en Allemagne. L’adaptation d’un monde à l’autre est permanente pour ces enfants qui vivent dans ce va-et-vient culturel.
La pédagogie : l’autonomie
Les principes et pratiques pédagogiques ont pour objectif de rendre les élèves acteurs et responsables de leurs apprentissages. La pédagogie repose sur le postulat suivant : les élèves ont des idées, des avis qui ont autant de valeur que ceux de l’enseignant. Ils apprennent à les exprimer, à écouter les autres, à chercher une explication ensemble, à travailler en équipe. Tout en acquérant des compétences sociales, ils gagnent en confiance en soi et en indépendance.
Le but est de former ainsi de futurs citoyens capables d’agir comme ambassadeurs entre les langues et les cultures en mettant à profit leurs compétences interculturelles acquises dès leur enfance, à un moment où l’apprentissage est le plus facile.
Réunion d’information
Entrée en 6e en SIS
Samedi 27 novembre à 10 h au Collège de Sèvres
SIS Paris Ouest
Sections Internationales
1, Parvis Charles de Gaulle – Sèvres
+33 (0)1 72 77 70 40
https://sissevres.org/
Photo : Parlement de la Jeunesse, Strasbourg 2018