Bienvenue aux nouveaux commerçants du marché Saint-Romain !

Le Hâloir, une histoire de fromages…

À pâte molle et croûte fleurie, à croûte lavée, frais ou blancs, à pâte persillée… Aujourd’hui, saviez-vous que nous recensons en France pas moins de 1?500 variétés de fromages. Alors, devant ce choix gargantuesque, comment trouver un fromage qui correspond à notre envie ? Direction la fromagerie du Hâloir qui vient d’ouvrir au marché Saint-Romain. Aux manettes, Benjamin Vergne, le père, et son fils, Eliott. Ce duo de connaisseurs a ouvert sa boutique début septembre et vous propose une gamme de fromages de qualité et pour certains, de belles surprises. « Je suis comme qui dirait, un amoureux du fromage ! » déclare Benjamin Vergne. En 2018, avant la pandémie, il s’est lancé dans la fromagerie en ouvrant une boutique à Saint-Cloud. Aujourd’hui, il souhaite faire connaître ses fromages sur le marché : « je ne me considère pas comme un commerçant, mais plutôt un chercheur de bons produits. J’aime faire partager ma passion à la clientèle ! Le fromage parle à tout le monde ». Toujours à la recherche de nouveaux produits, Benjamin et Eliott Vergne sauront vous trouver des fromages qui vous correspondent !

Fromagerie Le Hâloir – Ouvert tous les jours d’ouverture du marché
Tél. 06 12 49 63 95

Chez Or, traiteur, place aux saveurs thaïlandaises

La cuisine thaï, bien que semblable en certains points à celle de ses voisins chinois, indiens et birmans se démarque par des saveurs et des ingrédients originaux, tels que le curry, la menthe, la citronnelle, ou encore la coriandre. C’est une cuisine généreuse et colorée à l’image du stand de Nipaporn Thonga, surnommée « Or » qui vient de s’installer sur le marché Saint-Romain. Chaque vendredi, samedi et dimanche matin, elle vous propose des spécialités parfumées, des nems, des samossas faits maison.
« Je travaillais pour un traiteur avant la pandémie. Depuis 2 ans, je propose mes plats sur les marchés, je suis très contente d’être à Sèvres » explique-t-elle. « Je cuisine depuis l’âge de 7 ans, je passe tout mon temps en cuisine. C’est pourquoi, il est important de proposer des produits de qualité à ma clientèle. Je fais tout maison, et je vais chercher les produits dans des boutiques spécialisées » poursuit Nipaporn Thonga. Sa spécialité, le curry vert ! Mais vous pourrez aussi vous laisser tenter à de nouvelles saveurs étonnantes.

Chez Or – Du vendredi au dimanche matin

Mangez encore plus de légumes avec les nouveaux maraîchers !

Certes, les légumes sont moins glamour que les pâtes ou les frites dont raffolent nos enfants, mais ils sont pourtant indispensables en cuisine. Eh oui, ce n’est pas pour rien qu’on nous répète depuis des années qu’il faut consommer 5 portions de fruits et de légumes par jour.
Et comment trouver de bons légumes ? En se rendant chaque samedi et dimanche au marché Saint-Romain direction « La ferme du bois de grammont », le nouveau stand de Céline Pérodeaud et son associé Nicolas, tous deux maraichers et producteurs dans l’Eure (à Gaillon). Sur leurs étals, vive les couleurs, les légumes et les fruits de saison ! Vous n’aurez donc plus aucune excuse pour ne pas cuisiner des légumes et les faire apprécier à vos enfants !

La Ferme du Bois de Grammont – Chaque samedi et dimanche matin

La bonne humeur de mise à la buvette du marché Saint-Romain !

Depuis le mois de juillet, il y a un vent de bonne humeur qui souffle à la buvette du marché Saint-Romain. Derrière le comptoir, Lahlou, le « barman » et Samia, la « cuisinière ». Ensemble, ils ont repris les rênes de ce lieu de vie, si important au marché et impulsent depuis, une bonne humeur quotidienne. « Nous sommes présents dès l’arrivée des commerçants et des lève-tôt à 6 heures du matin pour pourvoir leur proposer de quoi petit déjeuner. Et très souvent, nous sommes les derniers à fermer, car nous proposons également un plat du jour, cuisinés le matin sur place avec les produits des commerçants, des frites fraiches et des sandwichs » explique Samia. Lahlou quant à lui, s’occupe de servir les clients au comptoir. Ce poissonnier de 25 ans de métier a voulu changer de casquette mais rester sur les marchés : « j’aime le contact, parler avec les gens. C’est ça le commerce ! ». Dans les semaines à venir, Samia et Lahlou apporteront quelques modifications à la buvette du marché avec l’objectif de toujours mieux accueillir les clients dans la bonne humeur, bien évidemment !

Buvette du marché Saint-Romain

PLUi : nouvelle étape de concertation avant sa version définitive

Après le diagnostic et le projet de territoire présentés en 2022, l’élaboration du Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi) se poursuit durant cette année 2023 avec cette phase déterminante qui vise à établir le projet de règlement. Donnez votre avis sur ce projet à l’occasion des réunions publiques organisées dans chaque ville du territoire pour ensemble, imaginer notre territoire de demain.
À Sèvres, le rendez-vous est proposé le mardi 7 novembre à 19h au Sel.
Cette réunion publique représente donc une nouvelle occasion de vous exprimer sur le PLUi et les grands principes réglementaires qui s’appliqueront pour les prochaines années. Ce projet de règlement vise à œuvrer pour un territoire toujours plus agréable à vivre qui favorise l’épanouissement des familles : logement, services, environnement…

Et après ?

À l’issue de ce nouveau temps fort de concertation, le projet de PLUi sera arrêté début 2024 et sera soumis à l’avis des différents acteurs locaux et des citoyens via une enquête publique durant la même année, avant d’être approuvé et d’entrer en vigueur début 2025.
Dans la continuité de la démarche initiée par GPSO depuis deux ans maintenant, l’élaboration du règlement s’est faite de manière participative. Elle s’est notamment nourrie des réflexions des élus, des acteurs du territoire et des habitants qui ont participé à différents temps d’échanges au printemps dernier. Pour visionner la vidéo de présentation des temps de concertation sur le règlement, et retrouver toutes les informations sur les réunions publiques, rendez-vous sur
www.seineouest.fr/plui.

Sèvres en route vers les JO 2024 !

Le Tour Olympique et Paralympique (TOP 92) est un parcours reliant de semaine en semaine toutes les communes des Hauts-de-Seine, et durant lequel seront organisées des animations sportives et culturelles autour du thème de l’olympisme et de ses valeurs. Marrainé par Diane de Navacelle de Coubertin, descendante du baron Pierre de Coubertin, le TOP 92 débutera à Colombes le 8 octobre 2023, journée paralympique, durera 7 mois pour se terminer pendant la semaine olympique et paralympique, en avril 2024. La ville de Sèvres accueillera ce TOP 92 du 16 au 22 octobre prochain, après avoir récupéré l’objet de passation, un vase Mayodon créé spécialement par la Manufacture de Sèvres, le dimanche 15 octobre à Colombes.

Sport et handisport

Pour débuter la semaine, la ville de Sèvres mettra en place une exposition mobile intitulée « Athlètes extraordinaires : l’aventure du handisport et du sport adapté ». Elle sera visible sur tous les lieux où seront organisés des événements, à l’Escale, au gymnase des Cents Gardes, à l’Hôtel de ville ou encore à la Cité de la céramique. Cette exposition qui propose de retracer l’évolution et l’histoire du Handisport et du Sport Adapté en France à travers les principaux acteurs qu’ils soient dirigeants ou athlètes, fera écho à une conférence sur l’inclusion organisée le 18 octobre au salon Saint-Omer par le Comité handisport des Hauts-de-Seine.
Les jeunes fréquentant l’Escale, le service jeunesse de la ville, s’adonneront à plusieurs activités sportives le 18 septembre dans le cadre d’une animation intitulée « Party time spécial JO ». Les élèves des écoles élémentaires de la ville participeront à un cross scolaire les 19 et 20 octobre prochain. La médiathèque de Sèvres proposera quant à elle, une bibliothèque mobile au gymnase des Cent Gardes. De nombreux ouvrages sur le domaine du sport seront mis à disposition du grand public.

Une cérémonie de passation à la Cité de la Céramique

Après ces quelques jours d’animations, la ville de Sèvres vous donne rendez-vous pour un final exceptionnel ! La cérémonie de passation entre la ville de Sèvres et celle de Meudon se déroulera le dimanche 22 octobre de 14h à 18h à la Cité de la céramique.
La caravane du sport sera bien évidemment présente aux côtés d’associations sévriennes qui proposeront aux petits comme aux plus grands de s’initier à leurs disciplines. Pour cette journée spéciale, le Musée National de Céramique de Sèvres proposera des visites gratuites et animations variées sur la thématique du sport, des jeux olympiques, du mouvement et du corps. À 17h, les Sévriens seront invités à vivre la cérémonie de passation entre la ville de Sèvres et celle de Meudon. À cette occasion, le vase Mayodon sera remis par le maire Grégoire de La Roncière à son homologue de Meudon, Denis Larghero. Un verre de l’amitié clôturera cette après-midi sportive et festive.

Renseignements :
Tour Olympique et Paralympique 92
Du lundi 16 au dimanche 22 octobre
Programme complet à venir

« Nous sommes très fiers de pouvoir faire vivre aux Sévriens une semaine d’animations autour des valeurs sportives ! L’objectif est de mobiliser l’ensemble des acteurs (établissements scolaires, associations, institutions) pour permettre aux Sévriens de participer à cette aventure olympique et paralympique unique. Je tiens à remercier tous les partenaires et notamment la Cité de la Céramique pour nous accueillir lors de la cérémonie de passation, dimanche 22 octobre ».

Philippe Hazard
Adjoint au maire délégué au sport et au bénévolat

 

 

JO 2024 : tentez votre chance pour le Marathon Pour Tous

Pour la première fois dans l’histoire des Jeux Olympiques, un Marathon Pour Tous regroupant 2 courses : le traditionnel marathon et une course de 10 kilomètres, sera organisé le 10 août 2024.
Pour remercier chaque ville traversée par ce marathon, le Comité des JO offre 10 dossards pour chacune des deux épreuves. Si vous êtes Sévrien et si vous souhaitez candidater, adressez un mail sans plus tarder à contact@ville-sevres.fr

Un mois de « Cultures urbaines » à Sèvres

La manifestation « Cultures urbaines » revient pour une nouvelle
édition colorée en octobre. Expositions, battle de hip-hop, initiation
à la zumba, performance artistique en direct ou encore spectacle de
footstyle… Bienvenue à la nouvelle édition et zoom sur quelques-uns
des principaux rendez-vous proposés.

Sortez les baskets !
Samedi 7 octobre de 14 h à 18 h – parvis Charles-de-Gaulle

« Cultures urbaines » démarre sur les chapeaux de roue ce 7 octobre prochain. Rendez-vous place Charles-de-Gaulle pour une initiation à la zumba et danse latine avec l’association Dynamic Sèvres et une battle de hip hop ! Devant un jury composé de professionnels et du public, affrontez votre adversaire en freestyle sur une musique que vous ne connaissez pas.
Envie de vous lancer dans l’aventure ? Inscrivez-vous sur https://www.cieflies.com/event-details/sevres-hip-hop-battle

Le rire au cinéma
Samedi 7 octobre à 10h30 – Médiathèque de Sèvres

Détente assurée et humeur joyeuse pour cette nouvelle édition de la
« Matinale cinéma » à la médiathèque de Sèvres. Venez découvrir des séquences et des rires cultes, un panel de films comiques, les légendes du rire… Rien de tel pour vous mettre de bonne humeur !

Concert de rap et de hip-hop avec Da Titcha et Petite Gueule
Vendredi 13 octobre à 20h – Sel

Pour Da Titcha (« Le Prof »), deux mots d’ordre : le dépassement
de soi et l’échange, comme dans un freestyle rap. Vous lui donnez les mots, il improvise le flow ! Sur scène, Petite Gueule fera vibrer. La musique sera urbaine avec un franc-parler. Avec gouaille, avec urgence de s’exprimer. Le verbe sera sensible, intense et rythmé. Un concert qui aura du peps !

Carolina Spielmann investit la Mezzanine
Du 6 octobre au 4 novembre – Hôtel de ville

Artiste et illustratrice franco-argentine, Carolina Spielmann exposera ses oeuvres colorées à la Mezzanine à l’occasion de son exposition « De plus près ».
Après son diplôme de la prestigieuse Parsons School of Design (NYC ) et son master de la Central Saint Martins (Londres), elle a exposé son art dans des galeries et foires à travers le monde, a publié plusieurs livres d’illustration et a collaboré avec des maisons d’édition et des agences de publicité. Aujourd’ hui, elle investit les murs de la Mezzanine pour notre plus grand plaisir !

Renseignements :
Cultures urbaines
Du 1er au 31 octobre à Sèvres
Découvrez le programme complet

Nouveau : des écoambassadeurs dans les services de la ville

La ville s’implique dans le développement durable et la sobriété énergétique. Dans ce cadre, un appel à candidatures a été lancé pour recruter des volontaires formés à transmettre les bonnes pratiques à leurs collègues.

Ces éco-ambassadeurs suivront régulièrement des formations pour être sensibilisés et acquérir les connaissances sur les éco-gestes et pratiques. Ils seront chargés de les transmettre à leurs collègues.

La première formation « atelier 2 Tonnes » a porté sur la réduction de notre empreinte carbone et s’est tenue le 28 septembre dernier de 9h30 à 12h30 au salon Saint-Omer.

Découvrez les visages de nos éco-ambassadeurs à travers ces quelques portraits. A noter que le recrutement est toujours en cours, alors si vous souhaitez intégrer le réseau des éco-ambassadeurs, il n’est jamais trop tard !

Sandra Bonnet
Gestionnaire carrière,
direction des relations humaines

Que t’évoque le terme éco-ambassadeur ? C’est une personne qui a envie de relayer aux autres des informations sur les économies d’énergie à d’autres personnes.

Pourquoi devenir éco-ambassadeur ? J’essaie de faire attention à plein de petites choses qui permettent d’économiser et améliorer son bien-être. Ça m’a parlé… A la maison, mes filles sont sensibilisées à l’écosystème, aux écogestes…  J’apprécie aussi les ateliers du potager. Ce qui me plait, c’est de relayer ces petits gestes dans mon service. Je me suis alors demandée « pourquoi pas moi ? ».

Pratiques-tu des écogestes au quotidien ? Dans le service, on a déjà des rituels comme débrancher les appareils, éteindre les écrans sur la pause de midi… A la maison, c’est un peu pareil : on éteint les lumières, on en gaspille pas l’eau, on fait le tri… Ce n’est pas énorme mais ce sont des gestes que je connais parfaitement et que je fais quotidiennement. Aujourd’hui, j’ai envie de mieux faire et d’en savoir un peu plus.

Que souhaites tu apporter en tant qu’éco-ambassadeur à ton service, notamment suite aux formations qui te sont proposées ? Relayer des infos que l’on ne connaissait pas, apprendre de nouveaux écogestes à mes collègues… J’attends un accompagnement pour pouvoir partager ces écogestes, j’attends ces formations avec impatience.

Qu’est-ce-que tu améliorerais dans ton service ou en mairie pour être plus écologique ? Depuis quelques temps, nous avons constaté la mise en place du compostage ou des poubelles de biodéchets. Je suis impatience d’en connaître encore plus.

Quentin Mane
Instructeur du droit des sols,
service de l’urbanisme

Que t’évoque le terme éco-ambassadeur ? C’est un peu flou…   Je dirais que c’est un pionnier, un guide qui dans chaque service, va inviter ses collègues (voire des administrés peut-être, à voir) à entreprendre et mettre en place des démarches plus écoresponsables, plus respectueuses des énergies… C’est une personne qui mettra en place des actions concrètes pour le développement durable.

Pourquoi devenir éco-ambassadeur ? De base, j’ai un peu la fibre écolo, cela me tient à cœur. Tout ce qui tourne de près ou de loin à la transition écologique, doit avoir un impact également au travail. Je trouve qu’on utilise beaucoup trop de papier au service urbanisme en raison des dossiers que l’on imprime chaque jour, sans compter le bilan carbone de nos envois… Il y a du gâchis, c’est aberrant… J’espère que l’on aura des astuces lors des formations proposées pour mettre en place de nouvelles actions et travailler dans le respect de l’environnement.

Pratiques-tu des écogestes au quotidien ? Ma génération (j’ai 25 ans) a été bercée par les questions écologiques dès l’école : faire attention à l’empreinte carbone, au gâchis… « c’est du blabla… après il  faut des actions concrètes ». Dans ma vie personnelle, j’évite le plus possible de prendre l’avion, je prends les transports en commun, la voiture… par contre je ne fais beaucoup le tri des déchets, je n’arrive pas trop à m’y mettre.  Au bureau, j’ai envie que l’on réduise les impressions papier, je ne mets pas la clim quand je suis seul, et j’ai un plaid pour l’hiver lorsque qu’il n’y a pas de public pour limiter le chauffage. Je pourrai en faire plus, il y a plein de choses que je pourrai apprendre…

Que souhaites-tu apporter en tant qu’écoambassadeur à ton service, notamment suite aux formations qui te sont proposées ? Je souhaite devenir un vrai tyran de l’écogeste ! Plus sérieusement, j’espère que cela va m’apporter beaucoup de données, surtout quantitatives, afin de nourrir mon discours et l’étayer, informer mes collègues, éduquer, discuter autour de ces sujets plutôt que simplement imposer des écogestes. J’espère que l’on apprendra beaucoup de choses.

Qu’est-ce-que tu améliorerais dans ton service ou en mairie pour être plus écologique ? Je suis un fervent défenseur de la dématérialisation, même si la solution n’est pas parfaite car elle a aussi son empreinte carbone. Il nous faudrait utiliser les solutions existantes pour économiser le papier, travailler sans avoir tout à imprimer, pas le « tout démat’ » mais utiliser les outils déjà à notre disposition pour avoir une gestion plus cohérente des dossiers. Et puis, continuer à travailler sur les économies d’énergie, avec pourquoi pas le port du col roulé… (rires)

Emmanuelle Sele
(Directrice adjointe – crèche du Moulin)

Que t’évoque le terme éco-ambassadeur ? Pour moi ambassadeur, c’est représentant d’un lieu, la crèche.

Pourquoi devenir éco-ambassadeur ? C’est Aurore qui m’a parlé de cet appel. Effectivement, l’écologie m’intéresse, je trouve que c’est important. À la crèche, nous ne sommes pas vraiment sensibilisés. Pourtant, il y aurait de nombreux projets à mettre en place. Si c’est insufflé par la mairie, cela aura plus de poids, j’espère que cela portera ses fruits.

Pratiques-tu des éco-gestes au bureau ou chez toi ? Alors chez moi, je fais le tri, j’ai un bac a compost, j’essaie de faire attention à l’énergie, je récupère les eaux de lavage des légumes pour arroser mes plantes, je marche ou j’utilise les transports, je n’utilise plus de bouteilles en plastique et réduit au possible le plastique. À la crèche, j’évite d’imprimer ou photocopier à outrance, j’éteins les lumières, même si elles sont vite rallumées.

Que souhaites-tu apporter en tant qu’éco-ambassadeur à ton service, notamment suite aux formations qui te sont proposées ?
Je verrai selon les formations proposées. J’aimerai pouvoir valoriser les déchets à la crèche, car ici clairement il y a un problème de poubelle, nous n‘avons pas assez de bacs jaunes pour les papiers, les cartons… Elles sont vite remplies et un seul passage par semaine, ce n’est pas suffisant. Certains cartons finissent dans les poubelles classiques faute de place et c’est bien dommage lorsqu’on fait le tri. Nous avons aussi les déchets organiques de la cuisine telles que les épluchures des légumes.

Qu’est-ce-que tu améliorerais dans ton service ou en mairie pour être plus écologique ? Il nous faudrait un composteur que l’on placerait dans notre petit espace vert, on pourrait ensuite les mettre dans nos plantations, faire le tri des papiers, il y a aussi les couches en crèche qui restent un vrai problème… On avait pensé aux couches lavables, mais c’est une véritable réorganisation… c’est un projet de ville, plus qu’un projet de crèche.

Coralie Alonzo
agent des services financiers,
service dépenses et recettes 

Que t’évoque le terme éco-ambassadeur ? C’est une personne qui promeut les bonnes pratiques en terme d’écogeste.

Pourquoi devenir éco-ambassadeur ? Pour avoir une mission au sein de la mairie en plus de mes missions ordinaires, pour changer d’univers et pour participer à mon niveau, à la réduction de l’empreinte carbone…

Pratiques-tu des écogestes au quotidien ? J’éteins systématiquement les lumières dans les couloirs de la mairie, même si elles sont rallumées. Chez moi, je fais également le tri sélectif, je ne laisse pas couler l’eau. Je n’utilise que mon vélo pour venir en mairie peu importe le temps, je n’ai jamais pris la voiture pour venir au travail depuis mon arrivée à Sèvres en 2018… cela permet également de faire des économies.

Que souhaites-tu apporter en tant qu’éco-ambassadeur à ton service, notamment suite aux formations qui te sont proposées ? Promouvoir les bonnes pratiques, moins imprimer, inciter les gens au maximum à réduire tout ce qui peut coûter en électricité ici, et chez eux s’ils le veulent.

Qu’est-ce-que tu améliorerais dans ton service ou en mairie pour être plus écologique ? Mettre des minuteurs en terme d’éclairage dans les couloirs de la mairie. On utilise beaucoup de papier, ce serait bien d’imprimer le strict nécessaire et d’avoir un archivage électronique pour éviter ces impressions uniquement faites pour mandater et archiver…

Myriam Arfaoui
agent social principal – crèche Aurore-Gévelot 

Que t’évoque le terme éco-ambassadeur ? Je ne sais pas en fait – je pense que c’est lié à l’écologie… Je suppose que c’est pour faire attention à l’utilisation de la lumière sur la structure, des choses de cet ordre…

Pourquoi devenir éco-ambassadeur ? J’ai vu la note affichée dans la salle de pause par ma directrice. J’aime bien évoluer et voir un peu de tout. Et personnellement, je me suis dis que cela ferait un petit plus. Et c’est vrai que l’écologie c’est important maintenant, avoir plein de petites formations sur le sujet je trouve cela intéressant… alors je me suis dis pourquoi pas.

Pratiques-tu des écogestes au bureau ou chez toi ? À la crèche, c’est toujours moi qui éteins les lumières… Mis à part cela, nous n’avons rien mis en place. À la maison je fais le tri, je fais attention aux lumières, à ma consommation d’eau et celle de mes ados… Je profite également des jardins partagés des cent Gardes. J’ai la main verte, j’aime les plantes.

Que souhaites-tu apporter en tant qu’éco-ambassadeur à ta structure, notamment suite aux formations qui te sont proposées ? Pousser les collègues à faite plus attention à la consommation électrique, faire du compost – pour le moment c’est Christelle notre cuisinière qui s’en occupe. Après ça dépend aussi, peut-être qu’avec les formations je vais apprendre de nouvelles choses et je pourrai les mettre en place à la crèche. J’attends beaucoup de la formation.

Qu’est-ce-que tu améliorerais dans ton service ou en mairie pour être plus écologique ? Ce serait de pouvoir faire vraiment ce que l’on propose, avec l’accord des directions. Leur donner des idées, et puis après les mettre en place et les appliquer. Les propos doivent être suivi d’actes. C’est ce que l’on fait déjà dans les gymnases où je travaille le dimanche (avec Benjamin et Misha)… Si tout le monde fait un geste, nous pourrions constater des baisses de consommation sur les factures.

Alexandra La Rocca
Directrice adjointe de l’esc@le

Que t’évoque le terme éco-ambassadeur ? Je pense que c’est pour être garant d’un espace de travail eco-friendly,  et que tu fasses participer tes collègues à l’effort.

Pourquoi devenir éco-ambassadeur ? C’était une volonté de ma part, et en parlant dans notre équipe, les autres ne voulaient pas trop se positionner, alors je me suis portée candidate tout naturellement.

Pratiques-tu des écogestes au bureau ou chez toi ? J’éteins la lumière dès que je sors d’une pièce, je fais attention à ne pas faire couler l’eau inutilement… En fait, je fais des gestes qui me paraissent anodins.

Que souhaites-tu apporter en tant qu’éco-ambassadeur à ton service, notamment suite aux formations qui te sont proposées ? À l’escale, on est déjà un peu respectueux de tout ça… on éteint les lumières, on évite d’utiliser les ventilateurs. J’attends de voir les formations…

Qu’est-ce-que tu améliorerais dans ton service ou en mairie pour être plus écologique ? J’envisagerai des travaux d’isolation thermiques, des baies vitrées qui chauffent les bâtiments, je mettrais en place à la mairie des stores en lieu et place des stores jaunes… Il serait bien également de mettre en place des luminaires LED, des capteurs de présence pour les lumières… On pourrait également imaginer mettre en place des marchés en circuit-court.

Audraline ZONDO
Juriste commande publique

Que t’évoque le terme éco-ambassadeur ? C’est une personne référente en termes de gestes écologiques, quelqu’un qui va orienter, conseiller, accompagner en cas de besoin, répondre aux questions de ses collègues sur des sujets environnementaux, qui nous concernent tous.

Pourquoi devenir éco-ambassadeur ? J’ai été approchée par Julie Chenini, qui m’a gentiment proposée d’être un relais sur le développement durable… Je trouvais que ça pouvait être chouette de participer à ce sujet et de faire de mon mieux pour l’environnement.

Pratiques-tu des écogestes au bureau et chez toi ? Chez moi, je limite tout ce qui est plastique… Il y a 5 ans je ne buvais que de l’eau en bouteille car le calcaire de l’eau me rend malade… Depuis un an, j’essaie de boire seulement l’eau du robinet, j’ai acheté une carafe filtrante. J’utilise moins de produits chimiques, j’achète des fruits et légumes locaux, je fais le tri… Je viens à vélo électrique depuis chez moi (Asnières), je fais mes propres shampoings à base de produits naturels, j’allume très peu les lumières, celles qu’il me faut. Au bureau, je trie également.

Que souhaites-tu apporter en tant qu’écoambassadeur à ton service, notamment suite aux formations qui te sont proposées ? J’attends les formations… elles me permettront de voir ce que je peux apporter à mes collègues et dans quelle mesure. Pour le moment, je ne sais pas encore quelles sont les pistes à creuser, je pense que ça va concerner le gaspillage alimentaire, etc…

Qu’est-ce-que tu améliorerais dans ton service ou en mairie pour être plus écoresponsable ? Le potager c’est une bonne chose, on cultive des fruits et légumes de saison, il faut continuer… Il faudrait aussi que les agents situés sur les sites municipaux extérieurs, y accèdent pour la cueillette. On pourrait imaginer faire des conserves avec les légumes et fruits qui ne sont pas récoltés ?

Pierre Buick
Chargé du marché de restauration scolaire

Que t’évoque le terme éco-ambassadeur ? Ça m’évoque écologie – et ambassadeur : mettre en avant avec diplomatie tout ce qui est écolo.

Pourquoi devenir éco-ambassadeur ? Ça s’est fait un peu naturellement, j’ai l’habitude de participer aux ateliers du jardin potager… ensuite avec la mise en place du compost, on nous a expliqué en quoi ça consistait. A la mise en place des « bio seaux », on m’a chargé de sa gestion au sein du service. Cela a été logique pour tout le monde que je devienne l’éco-ambassadeur du service.

Pratiques-tu des écogestes au bureau et chez toi ? Je fais le compostage à la maison, j’ai du coup réduit de 2/3 mes poubelles. J’ai trouvé un système de consigne avec réutilisation des bouteilles en verre… c’est une petite société qui récupère les bouteilles et bocaux consommés et vous livre directement d’autres bouteilles à domicile. Ils sont en train d’étendre leur service à toute l’Île-de-France. Je crois que les gens n’ont pas besoin que l’on leur dicte leur conduite, il faut leur proposer des choses et cela viendra naturellement. Il ne faut pas une écologie punitive, ça ne doit pas se faire au détriment de ce que les gens ont l’habitude de faire… Chacun y viendra, c’est une question de bon sens, tout le monde voit bien qu’il y a un dérèglement climatique…

Que souhaites-tu apporter en tant qu’éco-ambassadeur à ton service, notamment suite aux formations qui te sont proposées ? J’imagine qu’on va nous donner des billes, qu’on va y aller par étape. Ce sera l’occasion d’échanger avec les collègues du service…  Si j’apprends de nouvelles choses, je serai content de les relayer… Je pense que les collègues retiendront plus facilement et naturellement des gestes du quotidien. Et puis, on pourra faire remonter ce qui ne va pas dans les services.

Qu’est-ce-que tu améliorerais dans ton service ou en mairie pour être plus écologique ? Il y aurait des choses à améliorer dans les bâtiments, mais il me semble que cela est pris en compte déjà, comme le remplacement des néons par des LED. Il faudrait des portes thermiques chez nous, une meilleure isolation de la mairie. Ces efforts montrent l’implication de la ville et je crois que cela motiverait les agents à agir aussi à leur niveau.

Anne-Sophie Gagneux-Soumaoro
(adjointe au directeur de la DSAP)

Que t’évoque le terme éco-ambassadeur ? C’est une personne qui va mener des projets comme par exemple limiter la consommation d’énergie, protéger la biodiversité ou trier les déchets.

Pourquoi devenir éco-ambassadeur ? Parce que je trouve cela très important, on pourrait mettre en place des projets… Être éco-ambassadeur permettra d’échanger avec les collègues, de proposer des projets transversaux.

Pratiques-tu des écogestes au bureau et chez toi ? Au bureau à part le tri, non… hélas ici à l’état-civil, on a un seul interrupteur pour tout le service… A la maison je fais le tri, j’éteins la lumière quand je quitte une pièce, je ne laisse pas couler l’eau… Ce sont des gestes basiques mais qui sont importants.

Que souhaites-tu apporter en tant qu’éco-ambassadeur à ton service, notamment suite aux formations qui te sont proposées ? Avant la formation je voudrais faire un point avec mes collègues, pour recenser ce qui pourrait être amélioré à l’échelle de notre service. Le plus gros problème ça reste avec les lumières ici… et travailler sur le tri des déchets qui peut encore être amélioré dans le service.

Qu’est-ce-que tu améliorerais dans ton service ou en mairie pour être plus écoresponsable ? J’essaierai de développer la dématérialisation… dans notre travail, ce qui permettrait d’économiser la consommation de papier et de baisser le coût financier. Cela serait un projet important pour notre direction.

Alain Pouget
Gardien de la crèche Aurore
et du centre d’accueil Gévelot

Que t’évoque le terme éco-ambassadeur ? Pour moi, c’est être le représentant écolo des collègues.

Pourquoi devenir éco-ambassadeur ? À mon niveau, je trouve qu’actuellement y a trop de gâchis, concernant la nourriture, la consommation électrique, l’habillement… Je pense qu’il y a beaucoup de choses à faire justement : apprendre comment recycler, comment mieux acheter, ou encore comment améliorer son quotidien en faisant des économies.

Pratiques-tu des éco-gestes au bureau et chez toi ? Ah oui tout le temps, beaucoup même… Par exemple, sur l’accueil de loisirs, vu qu’il n’y a personne, je n’allume jamais la lumière le matin. Je fais attention à l’eau, on essaie de sensibiliser les animateurs à ce sujet. À la maison c’est pareil, on fait attention à la consommation électrique, on fabrique le compost, on fait le tri… On essaie d’acheter les vêtements dont on a réellement besoin, et pas par simple plaisir. On achète en 2e main, mais on n’achète pas pour acheter… On consomme juste ce dont on a besoin.

Que souhaites tu apporter en tant qu’éco-ambassadeur à ton service, notamment suite aux formations qui te sont proposées ?   Je souhaite leur montrer qu’avec des petits gestes, on peut faire bouger les lignes.

Qu’est-ce-que tu améliorerais dans ton service ou en mairie pour être plus écoresponsable ? Déjà, j’aimerais bien que nous ayons un récupérateur d’eau, il servirait à arroser les nombreuses plantations que nous avons à Gévelot. Il serait intéressant également de mettre en place des chasses d’eau automatiques avec capteurs dans les toilettes des enfants. D’ailleurs, on fait actuellement un test dans les toilettes des garçons avec la cellule de présence. J’ai plein d’idées, mais il faut pouvoir les mettre en place.

 Marie-Lise Dufraisse
Chargée de la gestion des salles – vie associative
Direction des relations publiques et équipements 

Que t’évoque le terme éco-ambassadeur ? Ça m’évoque une conscience individuelle qui pourrait prendre la forme d’une conscience collective. L’objectif est de avec certains gestes, on peut passer à une conscience plus collective pour prendre réellement en compte les problèmes et agir en ayant des actions simples mais pleines de bon sens,  pour essayer de préserver un peu plus les ressources, la planète, le bien-être et l’avenir.

Pourquoi devenir éco-ambassadeur ? Au début, on s’est tous renvoyé la balle dans le service. Julie Chenini m’a sollicitée plusieurs fois et j’ai finalement accepté parce que je pense que je peux apporter quelque chose. C’est intéressant de motiver, de fédérer et de participer à une mission essentielle.

Pratiques-tu des écogestes au bureau et chez toi ? Ici… je peste quand je descends et que je vois les lumières allumées dans les couloirs en pleine journée… Je passe mon temps à les éteindre. Chez moi, je fais du compostage, je jardine, je trie, je fais attention à mes consommations d’eau et d’électricité, j’adopte des gestes qui sont préconisés par tous, des gestes de bon sens qui sont en cohérence avec ce que je dis et ce que je fais.

Que souhaites tu apporter en tant qu’éco-ambassadeur à ton service, notamment suite aux formations qui te sont proposées ? À vrai dire… cela va surtout dépendre de ces formations… Si c’est pour participer au bien-être de tous et améliorer nos fonctionnements, je dis oui, mais précisément je ne peux pas dire quoi.

Qu’est-ce-que tu améliorerais dans ton service ou en mairie pour être plus écoresponsable ? Limiter l’usage des mails en arrêtant de multiplier les boites, supprimer les grosses signatures de mail avec image car cela consomme énormément en data, et donc en énergie, limiter les impressions… Éteindre les lumières quand on n’en a pas besoin, relayer des infos, des pratiques. Et continuer ce que Julie a initié et mis en place, essayer de le faire perdurer… S’occuper du potager par exemple. On arrivera peut-être réellement à changer quelque chose, même s’il y a déjà des choses en route…

Emmanuelle Pecquenard
agent social en puériculture – crèche Beauregard

Que t’évoque le terme éco-ambassadeur ? Cela m’évoque « être un modèle écologique », montrer, proposer, accompagner ses collègues vers les économies d’énergies que l’on peut appliquer sur notre terrain professionnel… Je pense au mot « responsabilité » face au dérèglement que l’on voit, et qui n’ira pas en s’améliorant si on n’y participe pas tous à notre échelle.

 Pourquoi devenir éco-ambassadeur ? Cette cause me touche personnellement. La terre est belle… Quand je vois les dérèglements climatiques : la fonte des glaces, les incendies, les températures très chaudes, la déforestation… qu’est-ce que ça va être demain… Il faut qu’on agisse si on veut vraiment un autre monde.

 Pratiques-tu des écogestes au bureau et chez toi ? Oui, plus à la maison qu’à la crèche… À la maison je fais ma propre lessive, je lave la vaisselle à la brosse, j’utilise des lingettes réutilisables pour le maquillage, de l’essuie tout réutilisable, des sacs en tissu pour les légumes et pour le pain. J’évite les produits chimiques, je privilégie le vinaigre blanc, les savons solides… je fais attention à l’utilisation de l’eau.

Que souhaites tu apporter en tant qu’éco-ambassadeur à ton service, notamment suite aux formations qui te sont proposées ? J’aimerai partager tous les gestes qui seront proposés lors de ces formations, les astuces réalisables dans notre métier, en tenant compte des directives d’hygiène et de sécurité. J’aimerai tendre vers une crèche écoresponsable.

Qu’est-ce-que tu améliorerais dans ton service ou en mairie pour être plus écoresponsable ? Il existe un label « crèche éco-responsable » avec une charte. Ce serait bien de pouvoir appliquer ce qui est demandé dans cette charte à notre crèche, voire aux autres crèches de la ville ? Ce serait idéal d’aller dans un même sens et une même pratique.

Valentine Scolaro
Graphiste – service communication

Que t’évoque le terme éco-ambassadeur ? L’échange car nous sommes les ambassadeurs de l’écologie. Nous serons un relais d’informations.

Pourquoi devenir éco-ambassadeur ? Par curiosité, ce sont des sujets qui nous touchent tous. Dès qu’on parle d’avenir, on ne peut pas penser à autre chose qu’à l’écologie. Au service communication, j’ai pu travailler sur des projets liés aux écogestes. Ça m’intéresse de voir comment c’est implémenté et comment cela pourrait changer les choses.

Pratiques-tu des écogestes au bureau et chez toi ? Je n’allume jamais la lumière tant qu’il y a un semblant de lumière. J’utilise les transports en commun pour venir au travail,  je ne mets pas le chauffage, je n’en ressens pas forcément le besoin. Il faut dire que nous avons été sensibilisés très tôt, aux écogestes du quotidien, ce sont des choses que l’on fait naturellement. Je fais des efforts pour éviter de gaspiller la nourriture et je ne consomme pas à outrance, j’utilise de la seconde main. J’essaie de faire ma part, en somme.

Que souhaites tu apporter en tant qu’éco-ambassadeur à ton service, notamment suite aux formations qui te sont proposées ? C’est un peu difficile de répondre sans avoir eu les formations. Je dirai que la première chose que je ferai est d’apporter de l’information à mes collègues… Ce sera peut-être amener une autre manière de vivre, quitter certaines habitudes pour en adopter d’autres.

Qu’est-ce-que tu améliorerais dans ton service ou en mairie pour être plus écoresponsable ? Cela fait peu de temps que je suis là, c’est un peu difficile… Il faudrait déjà, dans un premier temps, se poser la question de savoir quels sont les leviers possibles… c’est difficile de proposer une amélioration, si on ne sait pas ce que l’on peut faire. Et puis, il y a des questions d’échelle… Être plus nombreux ferait bouger les choses.

Séisme au Maroc : soutien aux sinistrés

Dans la nuit du vendredi 8 au samedi 9 septembre 2023 a eu lieu un séisme important de magnitude 7 au Maroc. La ville de Sèvres apporte son soutien à tous les sinistrés de ce pays.
Afin d’aider les sinistrés, une collecte de produits de première nécessité et un don en ligne sont mis en place.

Collecte de produits de première nécessité mise en place jusqu’au jeudi 21 septembre – accueil de l’Hôtel de ville

Trois catégories de produits sont demandées par l’association « Cercle Eugène-Delacroix » :

1/ Soins-hygiènes : savon – dentifrice – brosse à dents – biberons – couches bébés – tétines – serviettes périodiques

2/ Linge : draps, couvertures, vêtements bébés et seniors en bon état

3/ Denrées alimentaires non périssables : lait en poudre bébé – farine – huile- eau – pâtes – riz – sucre – sel – thon – conserves

Don en ligne

Un don en ligne est possible sur le site du Comité International de la Croix-Rouge : www.icrc.org/fr

 

Un grand merci pour votre soutien !

 

Balades en forêt : attention aux tiques !

D’avril à octobre, les tiques sont particulièrement actives dans les milieux naturels, notamment dans les forêts. Certaines piqûres sur la peau peuvent transmettre la maladie de Lyme. Quand s’inquiéter ? Comment ne pas attraper de tiques ? L’Office national des forêts (ONF) vous recommande quelques gestes essentiels.
Pensez à vous couvrir les bras et les jambes avec des vêtements longs et des extrémités fermées pour empêcher les tiques de passer sous le tissu. Se protéger la tête est également important car la détection des tiques sur le cuir chevelu s’avère compliquée. Après une sortie nature, inspectez minutieusement votre corps, notamment les aisselles, les plis de peau, le cuir chevelu, le derrière des oreilles et le cou. Si vous repérez une tique, retirez-la rapidement avec un tire-tique, détruisez-la et désinfectez la piqûre. Il faudra surveiller la zone pendant six semaines.

Le Sévrien est en ligne !

Le Sévrien n°264 – Septembre 2023

Le Sévrien n°264 – Septembre 2023


L’Agenda – Septembre 2023

Agenda – Septembre 2023

Le dessin du mois de septembre 2023

La photo du mois de septembre 2023

Nous avons retenu, sur Instagram, la photo de @nicolasfagotstudio9, intitulée L’été en Seine.