La ville de Sèvres recrute un(e) auxiliaire de puériculture (h/f) pour la direction de la petite enfance.
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La ville de Sèvres recrute un(e) éducateur de jeunes enfants (h/f) pour le service de la Petite Enfance.
La ville de Sèvres recrute un(e) aide auxiliaire de puériculture (h/f) pour la direction de la petite enfance.
Avec l’essor croissant de la pratique du vélo, Île-de-France Mobilités et SNCF Gares & Connexions ont souhaité répondre aux besoins des cyclistes en leur offrant un moyen pratique de stationner leur vélo près des gares.
Le service Parking Vélos propose des emplacements dédiés et sécurisés, en libre accès ou en consigne fermée accessible sur abonnement, spécialement conçus pour stationner votre vélo en toute tranquillité.
Cette installation, opérationnelle 24h/24 et 7j/7 propose 72 places réparties en deux formules :
- 12 emplacements en libre accès, équipés d’une station de gonflage et d’un kit de maintenance ;
- 60 places sécurisées en consigne fermée, accessibles via un avec un passe Navigo et après s’être abonné via le site https://sncf-parking-velos.iledefrance-mobilites.fr
Pour les autres utilisateurs, trois formules tarifaires flexibles sont disponibles :
- Journalier (2 €) pour les trajets ponctuels ;
- Mensuel (10 €) pour les navetteurs réguliers ;
- Annuel (30 €), idéal pour les usagers quotidiens.
Les titulaires d’un abonnement annuel de transport (Navigo, Imagine R) bénéficient quant à eux de l’accès gratuit.
Retrouvez plus d’informations concernant les parkings vélos Île-de-France Mobilités réalisés par SNCF Gares & Connexions :
- Auprès du Centre de gestion parkings vélos SNCF gares et connexions : 20 rue Hector Malot – 75012 PARIS au 01 71 250 650 de 7h à 20h, 7j/7 – parking.velos-idfm-sncf-gc@kisio.com
- Retrouvez plus d’informations concernant tous les parkings vélos Île-de-France Mobilités :
Tribune de la majorité
L’opposition ? Toujours contre !
Qu’il est bon être dans l’opposition. Quoique la majorité fasse ou propose,
il suffit de critiquer et refuser. Nul besoin de construire, de proposer, de concilier?! Quelques exemples parmi d’autres en témoignent malheureusement.
Premier exemple : En mai 2017, la Ville de Sèvres se voit proposer 34 millions d’euros pour la cession de parts d’une société dont elle est actionnaire à un organisme HLM. Avantages pour la Ville : garantir de gros travaux en faveur des locataires ainsi qu’un apport conséquent d’argent. La majorité accepte. L’opposition, elle, ne vote pas pour cette recette de 34 millions !
Deuxième exemple : Fermée au public depuis 1993, l’ancienne gare du Pont de Sèvres surplombant la ligne de tramway T2, appartenait à la Ville. Plutôt que d’investir 3 millions d’euros dans la rénovation et la mise aux normes de ce bâtiment, la Ville a préféré garder votre argent pour des investissements dans nos écoles, nos crèches, nos stades, nos gymnases, nos équipements culturels et administratifs. Votre majorité a approuvé la vente de ce bien à un investisseur au prix de 600?000 euros. L’opposition vote contre cette vente.
Troisième exemple : En 2018, bunkérisés derrière leur mur séculaire, le domaine national de Saint-Cloud et la Manufacture de Sèvres acceptent, après des années de fastidieuses négociations, la mise à bas d’une partie de leur mur et la création d’un cheminement de 350 mètres protégé de la circulation automobile à l’intérieur de leur propriété, cheminement agrémenté de 28 arbres de haute tige supplémentaires et de 4 œuvres d’art. En juin 2020, dans un vœu adopté en conseil municipal, la majorité affirme son soutien au projet de « Promenade des Jardins » du Département des Hauts-de-Seine. L’opposition refuse de s’associer à ce vœu.
Quatrième exemple : Notre centre-ville a été construit au temps du tout-voiture et du tout-béton. Soucieuse de pouvoir se donner les moyens de le rénover entièrement, votre majorité a provisionné 20 millions d’euros pour mener à bien ce projet. L’opposition est contre, préférant sans doute se priver des moyens d’une véritable refonte du centre-ville. De plus, elle nous reproche la durée du lancement effectif du projet quand bien même elle sait pertinemment que c’est le temps qu’il a fallu à la Ville entre sa dénonciation du bail de la station-essence en 2018 et la libération effective de la parcelle en février 2025 après une décision de justice !
Cinquième exemple : Soucieuse de se donner les moyens de réaliser 40?% d’économies d’énergie dans les bâtiments publics municipaux à l’horizon 2030, votre majorité a décidé d’investissements à cette fin. Ils sont compris dans un agenda pluriannuel de dépenses d’investissement. Année après année, l’opposition ne vote pas en faveur du budget d’investissement de la ville.
Il y a ceux qui critiquent et il y a ceux qui font. La majorité a choisi son camp. Comme le disait Clemenceau « l’opposition est un métier facile, gouverner est un art difficile ».
L’équipe de la majorité (29 élus non-inscrits ou membres de LR, du MoDem, de RE et de l’UDI)
Tribunes des oppositions
Groupe Sèvres en transition
Square Carrier-Belleuse : réaménagement décevant et préfigurateur pour le centre-ville !
La rénovation du square Carrier-Belleuse, seul espace de respiration en centre-ville, entraîne la manifestation de mécontentements de la part de nombreux Sévriennes et Sévriens : réduction des espaces verts libres, jeux inadaptés aux plus petits et peu de place pour les ados. En comparant l’état des lieux initial avec le résultat, l’impression dominante est un gros raté. Les jeux pour enfants ne sont pas conçus pour une utilisation sans surveillance constante des parents : poutres enchevêtrées, rondins glissants, balançoires positionnées dangereusement. Pour les enfants qui ne marchent pas encore, la disparition du bac à sable ne leur laisse aucun espace d’activité un peu autonome. Côté ados, seul subsiste un terrain muni d’un arbre à paniers de basket (dont l’axe central n’est même pas muni de protection) et il est clair que le foot ou autre jeu de ballon ne sont pas les bienvenus.
Après le loupé des pavés impraticables de la promenade des jardins, c’est à nouveau un aménagement qui ne tient pas compte des usages. La raison en est simple : le projet n’a été discuté nulle part, pas plus en conseil municipal qu’avec les usagers. Cette façon de procéder n’est pas acceptable : la prise en compte de l’avis et des propositions des habitant.e.s devraient être incontournables lorsque des dépenses publiques sont engagées.
Une nouvelle pseudo concertation est lancée sur le projet de centre-ville, mais nous déplorons déjà que les remarques et demandes des Sévriennes et Sévriens dans les précédentes phases n’aient absolument pas été entendues. Nous saluons l’initiative de citoyen.ne.s de lancer une pétition pour demander que la passerelle du 8 mai 1945 (renommée
« autopont » dans la novlangue municipale) ne soit pas détruite. Il nous semble possible de la rénover, la végétaliser et de la transformer en axe de déplacement pour les transports en commun et les modes doux. Sa destruction n’est pas du tout liée à un quelconque souci d’apaisement de la circulation, mais est uniquement motivée par un objectif de promotion immobilière.
Aller sur Change.org et taper « Sèvres » ou « passerelle ».
Nous souhaitons une rénovation du centre-ville mais pas cantonnée au très étroit espace entre le centre administratif et l’ex-station BP. Plusieurs parties de la ville sont délaissées depuis des années et font douter les visiteurs d’un « bien vivre » à Sèvres. C’est un peu partout que Sèvres a besoin de rénovations, mais avec l’avis des expert-es que sont les habitant-es.
Catherine Candelier, Jean Duplex, Anne-Marie de Longevialle Moulaï, Luai Jaff, Frédéric Puzin
www.facebook.com/Sevresentransition/
Pour Sèvres
Après 12 ans de mandat, le maire sortant, se présentera en 2026, sans qu’aucun changement significatif de son projet phare de rénovation du centre-ville ne soit visible. Depuis peu, il multiplie la communication pour faire accepter un projet controversé exorbitant qui ne sera terminé au mieux qu’en 2032, et pour lequel il bloque 20 M € depuis
7 ans, privant dans le même temps Sèvres de travaux indispensables.
Depuis des mois, il nous refuse l’accès aux études préalables. C’est illégal. Est-ce pour dissimuler que des choix plus rapides et moins coûteux ?étaient possibles avec des résultats comparables ? Nos propositions sont sur poursevres.fr
Denis Moron
À l’occasion de la Journée nationale du souvenir des victimes de la déportation et du 80e anniversaire de la découverte des camps d’extermination, le service des archives commémore le souvenir de deux Sévriens, Georges et Marianne Ascoli, arrêtés par la Gestapo à Sèvres le 21 février 1944, internés à Drancy, déportés par le convoi n°69 du 7 mars et assassinés à leur arrivée à Auschwitz-Birkenau le 12 mars 1944.
Deux amoureux des belles-lettres
Georges Ascoli est né le 14 juin 1882 à Paris. Issu d’un milieu modeste, il perd son père, commis d’agent de change, alors qu’il est âgé de 14 ans. Son frère aîné, Marcel, normalien, est reçu premier à l’agrégation de physique en 1902. Georges est admis à son tour à l’École normale supérieure en 1903, en sciences humaines, dans la même promotion que l’historien Marc Bloch. Agrégé de lettres en 1907, il commence sa carrière dans l’enseignement secondaire, à Alès puis Toulon.
Il rencontre alors Marianne Greif, née le 20 avril 1891 à Constantine en
Algérie. Son père, Francisque Greif, exilé de Roumanie, exerce comme magistrat à Toulon. Passionné par les études antiques, il transmet à sa fille son goût pour la musique ; elle s’adonne au piano. Le 20 septembre 1910, Georges et Marianne se marient à Toulon. Après Nantes et Lille, la famille s’installe à Sèvres, dans une maison acquise en 1923 rue de la Cerisaie. Trois fils sont issus de cette union : Marcel, né en 1911 à Nantes, Pierre, né en 1916 à Toulon et René, né à Sèvres en 1924.
Une carrière universitaire
De 1919 à 1928, Georges Ascoli est chargé de cours puis professeur à la Faculté des Lettres de Lille. Il prépare également sa thèse d’État, soutenue en 1930 et consacrée à La Grande-Bretagne devant l’opinion française au XVIIe siècle. Elle est accompagnée d’une thèse complémentaire, consistant en l’édition scientifique de Zadig de Voltaire.
Chargé de cours dès 1929 à la Faculté des Lettres de l’Université de Paris, il est nommé en 1935 à la chaire d’histoire de la littérature française du XIXe siècle. Il prend plaisir également à diriger le groupe théâtral moderne de la Sorbonne. Son enseignement eut un rayonnement international par ses nombreuses missions à l’étranger, notamment aux États-Unis, mais aussi par la radiodiffusion de ses cours.
Ses publications témoignent de son érudition et de son amour pour la littérature. Parmi ses ouvrages les plus notables figurent des études sur Voltaire, le théâtre romantique et la critique littéraire au XVIIe siècle. Son Essai sur l’histoire des idées féministes en France (1906) fait déjà preuve de ses réflexions avant-gardistes sur des sujets sociaux. Il sera également un spécialiste et fervent défenseur de l’œuvre de Victor Hugo.
Un destin marqué par la guerre et la déportation
Georges Ascoli fut mobilisé toute la durée de la Première Guerre mondiale et reçut plusieurs blessures. Promu capitaine, il est cité à l’ordre de sa Division pour son dévouement et son courage. En 1939, Georges est à nouveau mobilisé à sa demande, et obtient le grade de lieutenant-colonel. Fait prisonnier lors de la défaite de l’armée française en juin 1940, il est interné à Beaune-la-Rolande puis à l’Oflag XIII A de
Nuremberg, avec son beau-frère Émile Greif. En captivité, il participe à l’animation d’une université pour les prisonniers, jusqu’à sa libération en août 1941. De retour à Sèvres, il ne peut reprendre ses cours à la Sorbonne, en application du second statut des juifs. Georges et Marianne subissent l’exclusion imposée par le régime de Vichy.
Le 18 septembre 1943, invité par le maire de Sèvres, il participe à une cérémonie officielle à la mémoire des victimes du bombardement aérien. Mais il est dénoncé par la presse antisémite. Le 21 février 1944, les époux Ascoli sont arrêtés par la Gestapo puis transférés au camp de Drancy. Ils sont déportés à Auschwitz-Birkenau par le convoi n°69 du 7 mars, et sont dirigés, à leur arrivée, vers les chambres à gaz. Leurs noms sont inscrits parmi les 76 000 du Mur des Noms du Mémorial de la Shoah ; ils figurent aussi sur une plaque commémorative située dans la cour d’honneur de l’Hôtel de Ville, devant le parvis de la Résistance et de la Déportation.
Créativité, partage et engagement local : découvrez Couture by Sèvres, l’association qui fait vibrer l’aiguille dans notre ville.
À Sèvres, Couture by Sèvres offre une approche conviviale et responsable de la couture. Née en 2016, elle s’est imposée comme un espace de rencontre pour les passionnés de tous niveaux.
Une histoire cousue main
L’aventure débute lorsque trois voisines, unies par leur amour de la couture, décident de poursuivre l’esprit des ateliers animés par Danièle et sa «Boîte à coudre». Avec le soutien de la mairie de Sèvres, qui leur a accordé sa confiance en leur proposant de garder le créneau existant, l’association a vu le jour en septembre 2016. Élodie Sales, présidente de l’association, explique : «Notre objectif était de continuer à partager notre passion dans une atmosphère conviviale tout en développant des compétences techniques.»
Des ateliers pour tous les goûts et tous les âges
Aujourd’hui, Couture by Sèvres compte près d’une centaine d’adhérents, majoritairement Sévriens, répartis en 15 groupes. L’association propose des ateliers adaptés à tous les niveaux, pour les adultes, les adolescents et les enfants (à partir de 9 ans). Les cours ont lieu à la Maison des associations, dans la galerie du Théâtre de Sèvres.
Les petits groupes de 4 à 6 personnes garantissent une qualité d’apprentissage et la disponibilité d’une machine pour chacun.
Au fil de l’année, les projets vont permettre d’explorer les étapes essentielles de la couture : analyse du patron, choix des matériaux, découpe, assemblage. Des techniques variées sont abordées : broderie, création d’accessoires, de vêtements. Des ateliers thématiques apportent des astuces à la vie quotidienne : réparation et customisation de vêtements, couture d’une culotte, création d’un kit pique-nique, utilisation d’une surjeteuse…
Une approche pédagogique et responsable
Les ateliers sont animés par des formatrices professionnelles qui transmettent leur savoir-faire avec patience et pédagogie. «Nous mettons l’accent sur la responsabilisation», souligne Elodie Sales. «Nous sensibilisons nos adhérents à une couture responsable, en les encourageant à faire attention aux tissus qu’ils achètent, à privilégier des matières durables et à s’interroger sur l’origine des textiles.»
Cette approche s’inscrit dans une démarche plus large de changement de regard sur l’industrie textile. En comprenant comment sont fabriqués les vêtements, les participants développent un autre regard sur la mode et la consommation, en opposition à la «fast fashion».
Un engagement local et solidaire
Couture by Sèvres s’implique activement dans la vie locale de Sèvres. Elle participe régulièrement au forum des associations et organise cette année la troisième édition du «Bazar de CbS», le samedi 5 avril à la galerie Alphonse- Loubat. Vous y trouverez des créations et des tissus d’ameublement à des prix très compétitifs, tous les bénéfices étant reversés à l’association «Imagine for Margo», qui lutte contre le cancer des enfants. L’association a également participé à diverses opérations locales comme le Défi Calot en 2021, l’opération Tricot urbain en 2019, ou encore la customisation de sacs «J’achète à Sèvres» en 2017.
Une bulle de détente et de créativité
Au-delà de l’apprentissage technique, Couture by Sèvres offre à ses adhérents un véritable espace de détente et d’épanouissement. «C’est un moment pour soi, une bulle où l’on peut développer sa créativité», confie Élodie Sales.
Une chose est sûre : à Sèvres, la couture a de beaux jours devant elle !
3e édition du «Bazar de CbS»
Vente de créations et de tissus au profit d’Imagine for Margo
le samedi 5 avril, de 10?h à 18?h, à la galerie Alphonse-Loubat,
9, Grande Rue.
Couture by Sèvres
Maison des associations, Galerie du Théâtre
Inscriptions et informations :
https://sevres-associatif.fr/couturebysevres/
Email : couturebysevres@gmail.com
FACEBOOK-SQUARE www.facebook.com/couturebysevres/
INSTAGRAM-SQUARE @couturebysevres
Créé par une passionnée de beauté, ce nouveau salon propose des prestations très variées.
« Depuis mon plus jeune âge, j’ai toujours rêvé de devenir esthéticienne afin d’apporter du bien-être aux femmes et de les aider à se sentir belles. Originaire du Brésil, je me suis installée en France pour suivre mes études, puis j’ai choisi d’y rester après l’obtention de mon diplôme. Après plus de dix années en tant qu’employée, j’ai décidé de franchir un cap en ouvrant mon propre salon : Gigi Esthetic » explique Gildette Da Silva. Quels que soient leurs âges et leurs besoins, elle propose un large éventail de prestations adaptées à toutes les femmes. Épilation, soins du visage et du corps, soins minceur, maquillage semi-permanent, réhaussement et teinture des cils… Gildette Da Silva est aussi prothésiste ongulaire offrant ainsi un service complet pour sublimer ses clientes. Soucieuse de proposer des soins de qualité, elle se forme régulièrement afin de perfectionner ses techniques et rester à la pointe des dernières tendances. « L’hygiène et la sécurité sont également au cœur de mes priorités : tous mes instruments sont stérilisés et je privilégie l’utilisation de produits bio et de marques françaises conformes aux normes en vigueur » explique Gildette Da Silva. Pour faire plaisir à un proche, elle propose également des cartes cadeau, une attention parfaite pour un anniversaire ou toute autre occasion spéciale.
Gigi Esthetic – 87, rue des Bruyères.
Ouvert du jeudi au samedi de 10?h à 13?h et de 14?h à 19?h.
Tel. : 06 51 44 19 34 – www.gigiesthetic.fr
Ce spécialiste du bio propose des produits de qualité aux Sévriens. Ils peuvent les acheter sur le marché ou se les faire livrer.
Travaillant depuis 2006 dans l’alimention bio, Lahcen Deghbarkat est régulièrement présent au marché Aligre. « Le marché de Sèvres est un beau marché. Contacté par son président qui m’a annoncé que l’ancien commerçant bio quittait le marché, j’ai candidaté pour la place car je me suis dit que les Sévriens pourraient apprécier les produits que je vends » explique le dirigeant de Lahcen Bio.
Présent le mercredi, le vendredi, le samedi et le dimanche, il propose des produits de saison soigneusement sélectionnés. « Je veux m’adapter et permettre aux personnes de déguster des fruits et légumes que les autres commerçants ne proposent pas forcément. Je sais aussi que pour satisfaire les clients, il faut vraiment des produits de qualité. C’est pourquoi nous nous fournissons tous les jours chez des producteurs et des vendeurs de Rungis que je connais depuis longtemps. D’ailleurs, pour être certain que la qualité est au rendez-vous, je goûte régulièrement ce qu’ils me conseillent » confie Lahcen Deghbarkat.
Au-delà des fruits et légumes que les Sévriens trouveront sur son stand, il propose aussi la livraison à domicile et différents types de paniers avec des produits de saison différents chaque semaine.
Renseignements :
Marché de Sèvres
Présent le mercredi, le vendredi, le samedi et le dimanche
Tél. : 06 72 72 58 71 – lahcenbio@gmail.com
Lancée en 2018, la plateforme numérique d’accompagnement des victimes (Pnav) permet à toute personne mineure ou majeure, victime, témoin ou professionnel de signaler des violences intrafamiliales, sexuelles, sexistes et conjugales.
Accessible 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, cet outil permet aux personnes qui s’y connectent de dialoguer en direct avec des policiers et gendarmes spécialement formés sur ces sujets et en capacité de proposer une prise en charge personnalisée et adaptée à chaque cas.
Dans sa dernière version mise en ligne début 2025, la plateforme comporte des fonctionnalités supplémentaires telles que le renforcement de la confidentialité du tchat, dont l’historique peut être désormais rapidement effacé par la victime, en cas de besoin.
Accessible via le site internet arretonslesviolences.gouv.fr, les personnes qui réalisent un signalement peuvent être orientées vers des partenaires locaux pour un accompagnement social et/ou psychologique, ainsi que vers des associations d’aide proches de leur domicile.
En cas de nécessité de dépôt de plainte, la victime est directement orientée vers le commissariat de Sèvres.
Comment accéder à la plateforme de signalement ?
- Je me rends sur le site arretonslesviolences.gouv.fr
- Je renseigne mon code postal
- Je dialogue avec un policier ou un gendarme via le tchat
- J’effectue mon signalement