un(e) éducateur de jeunes enfants – directeur(trice) adjoint(e)(h/f) – mis en ligne le 5 avril 2024

La ville de Sèvres recrute un éducateur de jeunes enfants –
directeur(trice) adjoint(e) (h/f)  pour la direction de la petite enfance.

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Fête de la musique 2024 à Sèvres : inscrivez-vous dès à présent !

Ce formulaire est à présent fermé.

Steve Haegeman, comptable la semaine, médiateur le dimanche

Steve Haegeman a deux casquettes : celle du gestionnaire au service financier de la ville de Sèvres (depuis octobre 2015); celle d’animateur le week-end dans sa ville, Rueil-Malmaison.

Depuis petit, Steve Haegeman a toujours aimé s’investir dans des projets qui lui tenaient à coeur. « Lorsque j’étais en CM2, avec deux amis, nous avions initié une pétition au sein de notre résidence afin de demander l’aménagement d’un city stade, d’une table de ping-pong et d’une structure permettant aux jeunes de se regrouper et d’effectuer des activités. Après avoir fait du porte à porte dans toute la résidence pendant plusieurs semaines, nous avions recueilli plus d’un millier de signatures. Nous avons présenté la pétition à Jacques Baumel, maire de Rueil-Malmaison. Il avait été enthousiasmé par la démarche et nous avait félicité pour notre action au regard de notre jeune âge » nous partage-t-il. Quelques mois plus tard, le maire de Rueil-Malmaison a fait installer des city stades dans l’ensemble des quartiers de la ville, ainsi que des foyers pour accueillir les jeunes en journée. Aujourd’hui, 12 city stades dénommés « espaces liberté jeunesse » et 5 foyers ont pu voir le jour pour les jeunes de 17 à 25 ans dans sa ville. Ces sites permettent de fédérer les jeunes adultes de Rueil autour du sport.

Encadrer les jeunes adultes

Bien des années plus tard, en 2003, Steve Haegeman a été rappelé par Jacques Baumel pour encadrer une nouvelle activité proposée aux jeunes Rueillois dans les complexes sportifs de sa ville. Steve Haegeman a accepté de devenir un des médiateurs vacataires au sein de la direction prévention médiation de sa ville. Il encadre ainsi une quarantaine de garçons et filles chaque dimanche, pour pratiquer le futsal. Pour ses actions, il a reçu le diplôme du mérite municipal le 14 janvier 2004 des mains de Monsieur le maire. Son successeur, Patrick Ollier, actuellement maire de Rueil-Malmaison, continue à faire appel à lui pour cette même mission dominicale.  « Je remercie la ville de Sèvres de me permettre de poursuivre cette seconde activité » souligne-t-il.

L’envie d’aider et de participer à la vie locale

Steve Haegeman est dans une démarche d’aide. Il y a un coté « grand frère » à cette mission de médiation. Il encadre l’activité sportive, mais pas seulement. À travers ces séances sportives, des liens se tissent. Il connait les jeunes et suit leur progression et leur projets (études, recherche de stages ou d’emploi…). « Je suis médiateur à Rueil depuis 2003, je connais certains jeunes depuis qu’ils sont enfants. J’ai vu notamment N’Golo Kanté grandir et évoluer. C’est une véritable référence avec des valeurs humaines, un exemple pour la ville de Rueil ». Avant de poursuivre : « les jeunes nous sollicitent dans le cadre de leur cursus scolaire ou dans la mise en place de projets, ils nous demandent des informations sur le dispositif de co-financement du permis de conduire contre un engagement citoyen par exemple ». Cette fibre sociale est guidée par les valeurs que ses parents lui ont inculquées, et qu’il tente de transmettre à son tour, aujourd’hui, à sa fille.

Les agents des crèches à la rencontre des parents

Du 18 au 22 mars dernier, les structures sévriennes dédiées à la petite enfance ont participé pour la première fois à la Semaine Nationale de la Petite Enfance (16-23 mars), sur le thème « Viens, je t’emmène ».

Une semaine pour rencontrer les professionnels de la petite enfance
La plupart des parents déposent leur enfant à la crèche, sans vraiment savoir ce qu’il fera pendant la journée comme activités. A l’occasion de le Semaine Nationale de la Petite Enfance, les professionnels ont accueilli les parents des enfants et leur ont proposé de participer aux activités et autres animations mises en place. Un temps d’échange qui a permis aux professionnels d’expliquer leur métier et de partager leur quotidien. Les parents quant à eux, ont découvert de l’intérieur, le fonctionnement d’une crèche.

Découvrir et participer aux activités des enfants
Dans chaque crèche de la ville ainsi qu’au Relais Petite enfance, des animations étaient proposées pendant la semaine. Expression corporelle, parcours moteur, dessin, pâte à modeler, atelier cuisine, transvasement de semoule ou de pâtes, lecture d’histoires, peinture propre pour les bébés, imagier sur les émotions, jeux de manipulation, abaque (jeu de tri et de calcul) ont été quelques-unes des activités mises en place. « C’est l’occasion de voir ce que font nos enfants et comment ils interagissent entre eux » déclare le papa de Marin, qui fréquente la crèche Beauregard.
Du côté du Relais Petite Enfance, les assistantes maternelles ont invité les parents à venir découvrir les activités que sont l’éveil musical (mercredi) ou l’heure du conte (vendredi) à la médiathèque.

Durant ces journées d’échange avec le personnel éducatif, les parents ont ainsi mieux compris le fonctionnement d’une crèche et l’investissement des assistantes maternelles. « Grâce à ces rencontres, lorsqu’une assistante parle d’éveil musical, les parents comprennent mieux » remarque Marion Benayoun, responsable du RPE. Les enfants, quant à eux, ont été ravis de s’amuser avec leurs parents.

Rendez-vous l’année prochaine !

Retour en photos sur la semaine de la petite enfance :

La photo du mois d’avril 2024

Nous avons retenu sur Instagram, la photo de @travelwith.jojo intitulée « Printemps sévrien »

Le dessin du mois d’avril 2024

Tribunes libres – Avril 2024

Tribune de la majorité

Un projet de PLUi ambitieux

Le conseil de territoire de GPSO a approuvé le projet de Plan Local d’Urbanisme intercommunal à l’unanimité des élus, majorité et toutes oppositions unies, pour souligner les ambitions partagées pour notre territoire durant les quinze prochaines années. Quelles sont les ambitions portées par ce projet ?
En premier lieu ce projet de PLUi entend préserver le caractère verdoyant de notre ville. C’est ainsi qu’une règle de « garantie de pleine terre » a été adoptée. Toute construction neuve devra désormais ne pas dégrader le coefficient de pleine terre constaté dans son environnement immédiat. Et toute construction neuve sur un terrain carencé en pleine terre (moins de 30% de la surface) devra proposer des solutions alternatives pour la « reconstituer » (toitures végétalisées, murs végétalisés, …). Notre ambition en matière de rétention des eaux pluviales est également très forte. Dorénavant, toute construction neuve devra retenir ses eaux de pluie sauf pour les pluies d’occurrence décennale.
L’ambition de ce projet de PLUi est également énergétique. Afin d’encourager la rénovation énergétique des copropriétés et pour leur permettre de financer leurs travaux, une autorisation de surélévation de deux niveaux leur sera délivrée pour autant qu’elles obtiennent, après travaux, une amélioration significative de leur diagnostic de performance énergétique (2 niveaux sans être inférieur à C).
Notre ambition est également sociale. Avec 27,27?% de logements sociaux, Sèvres prouve au quotidien sa capacité à réussir la mixité sociale dans la ville. Ce taux dépasse en effet le seuil légal de 25% exigé par la loi SRU. Cet engagement de la ville sera maintenu et pour les opérations de construction de plus de 12 logements, la production d’un quart de logements sociaux sera exigée.
Notre ambition est également de faire de Sèvres un territoire attractif pour les familles. Pour toute construction neuve prévoyant 6 logements ou plus, la construction d’un minimum de 65?% de logements de 3 pièces et plus sera exigée.
Protecteur de nos espaces verts et
de nos paysages, notre projet de PLUi le sera également de notre patrimoine. 332 bâtis sévriens sont désormais classés comme remarquables ou d’intérêt contre 98 dans le PLU précédent. 54 arbres ont également été identifiés comme remarquables.
Naturellement ce projet de PLUi sera soumis à enquête publique, du 27 mai au 26 juin prochains, et vous pourrez y proposer toute observation nécessaire. Une réunion publique à ce sujet sera
organisée au SEL.
Avec vous, nous portons des ambitions fortes pour permettre à notre ville de relever les défis majeurs, environnementaux, démographiques et sociaux des quinze prochaines années.

L’équipe de la majorité
(29 élus non-inscrits ou membres de LR, du MoDem, de RE et de l’UDI)

Tribunes des oppositions

Groupe Sèvres en transition

Le logement n’est pas une priorité à Sèvres

Le plan local d’urbanisme intercommunal a été voté par la majorité municipale et sera soumis prochainement à enquête publique. Ce règlement d’urbanisme fixe les règles pour les futures constructions.
Il marque quelques avancées, que nous avons obtenues de longue lutte?: limitation de l’artificialisation des terrains, minimum de « pleine terre » par construction.
Il manque de logements pour les familles qui quittent le secteur à cause du prix et du déficit d’offre adaptée. Une nouvelle règle est instaurée : pour les ensembles d’au moins 6 logements, il faudra 2/3 de logements d’au moins trois pièces. Mais cette règle ne s’appliquera pas aux logements sociaux ! Il y a pourtant plus de 1?000 foyers monoparentaux à Sèvres. Le manque de trois pièces oblige souvent le parent à dormir dans la pièce à vivre ou dans la même chambre que son enfant.
Dans la même veine, Sèvres, seule, imposera dans certains secteurs un pourcentage exprimé en nombre de logements sociaux et pas un pourcentage en m2 comme les autres communes de GPSO. Les moins aisés c’est connu ont de moindres besoins d’espace pour vivre !
Le préfet vient de rappeler par écrit que GPSO est composé de 1 bureau pour 1,04 logement et que nous devrions avoir 1 bureau pour 3 logements. GPSO produit 1?650 logements par an alors que l’objectif fixé par l’État est de 2?000. Le compte n’y est pas !
Boulogne, Ville-d’Avray, Vanves et Marnes sont parmi les plus mauvais élèves. Ville-d’Avray a le foncier mais s’accroche à la théorie du village. Boulogne nie en avoir, en a eu énormément et n’a jamais considéré que le logement social devait être une priorité au point de stagner à 14?%. Les friches industrielles ont laissé place à des bureaux et plus récemment à des immeubles de haut standing et les Airb’nb sont légion à GPSO. Sèvres, légèrement au-dessus du plancher exigé, ne s’engage pas dans une dynamique positive avec ce projet de PLUi pour répondre à la crise du logement et du logement social en particulier.
Il faut utiliser l’existant pour des réhabilitations, élévations, rénovations sans nouvelle artificialisation des sols. On peut faire des transformations massives de bureaux en logements. 70?% de nos concitoyens ont des revenus leur permettant d’être éligibles à un logement social, celui-ci participe de la cohésion de notre pays et est nécessaire au maintien des services publics (écoles…). Face au manque d’ambition, nous nous sommes donc opposés au projet de PLUi.
Autre décision de la majorité municipale : voter comme un seul homme contre notre vœu visant à expérimenter un congé menstruel pour les agentes de la commune souffrant de règles douloureuses. Démarche adoptée pourtant par de plus en plus de villes.

Catherine Candelier, Jean Duplex, Anne-Marie de Longevialle Moulaï, Luai Jaff, Frédéric Puzin
https://www.facebook.com/Sevresentransition/

Pour Sèvres

Les crises climatiques et énergétiques, les conflits armés, la montée des extrêmes et du populisme dans le monde, créent un climat particulièrement anxiogène pour nos jeunes. Plus que jamais la jeunesse doit être au cœur de l’action municipale pour la rassurer sur son avenir et sur sa place dans la société, et ce faisant, renforcer la paix sociale. Il faut favoriser le développement du soutien scolaire, créer plus d’activités ciblées pour les jeunes, faciliter l’accès aux activités sportives d’enfants de familles modestes… Nous ne voyons rien de tel dans les orientations budgétaires qui nous ont été présentées. Nous lire sur poursevres.fr

Denis Moron

L’exposition égalité femmes-hommes s’est dévoilée sur les murs de l’Hôtel de ville

L’exposition proposée par le CIG petite couronne L’égalité femmes-hommes dans les collectivités territoriales a fait son grand retour en mairie. Au total, neuf panneaux avaient été installés dans différents lieux et services de l’Hôtel de ville : lieux de détente, couloirs passants, etc.

L’exposition était visible au 1erétage à la « Tisanerie ». Une signalétique était installée afin de permettre aux agents qui le souhaitent de découvrir chacun des 9 panneaux.

À noter que cette exposition est itinérante et sera proposée sur d’autres sites municipaux.

Quand Louis-Philippe et ses invités regardaient passer les trains

Beaucoup de visiteurs du Parc de Saint-Cloud se sont sans doute interrogés sur l’utilité de l’imposante porte de fer forgé, s’ouvrant sur une quinzaine de mètres, située à environ 125 mètres à l’Est de la porte des Vignes, qui interrompt le mur de clôture du parc du côté de Sèvres. Elle ne va nulle part, sinon sur l’étroite sente du nord.
Dénommée « grille du Point de Vue », elle est placée exactement dans l’alignement de la voie ferrée qui sort du tunnel à proximité de la gare de Sèvres-Ville-d’Avray. Au-dessus de la sortie du tunnel, dans son axe et celui de la grille, existent une terrasse et un balcon d’où l’on voit passer les trains (on aperçoit les rails et l’aqueduc servant de passerelle).
C’est là, en passant par sa belle et grande grille, que Louis Philippe pouvait amener ses invités regarder le tout nouveau chemin de fer. En juillet 1836, la loi avait décidé la construction de deux voies ferrées reliant Paris à Versailles, l’une dite « rive-gauche », passant par Meudon et l’autre dite « rive-droite », passant par Saint-Cloud et rejoignant à Suresnes la ligne de Paris à Saint­-Germain.


En 1838, la pose des rails de la seconde était terminée et en décembre 1842, le roi achetait, à titre personnel, à la Compagnie de Chemin de Fer, la parcelle de terrain contigüe au mur du parc, située au-dessus du tunnel, pour y installer cet observatoire. Il pouvait ainsi montrer le dynamisme et le savoir-faire français en ce nouveau domaine. Cette liaison rapide avec Paris allait donner naissance au quartier Brancas, à Sèvres, où les Parisiens vinrent faire construire leur maison de campagne. Les plus riches s’installèrent au voisinage de la gare sur de vastes terrains où ils firent édifier de grandes et belles maisons. Quand on s’en éloignait, terrains et maisons devenaient plus petits.

Qui était Louis-Philippe, le dernier «roi des Français» ?

Louis-Philippe de France, ou Louis-Philippe Ier, né le 6 octobre 1773 et mort le 26 août 1850, est le dernier roi en France.
Avec le titre de Roi des Français, Louis-Philippe règne de juillet 1830 à février 1848. Il arrive au pouvoir grâce à la Révolution française de 1830 dite Trois Glorieuses, qui chasse du trône son cousin, le roi Charles X. Sous, son règne, appelé monarchie de Juillet, seuls les Français les plus riches ont le droit de vote, et le gouvernement pratique la corruption pour faire élire des députés qui lui soient favorables. Le roi essaie de prendre une part active au gouvernement. À l’extérieur, le gouvernement essaie de faire oublier ses origines révolutionnaires, il refuse de soutenir l’insurrection des Polonais contre les Russes en 1830-1831 et tente un rapprochement avec l’Angleterre (pourtant, l’ennemie depuis des siècles). Il poursuit la conquête de l’Algérie. À l’intérieur, le gouvernement favorise le développement des industries textile et métallurgique, ainsi que des chemins de fer naissants. En raison de l’opposition des républicains et des bonapartistes, Louis-Philippe refuse d’accorder le droit de vote à des gens moins fortunés (paysans) ou ayant fait des études. En février 1848, il est renversé par une révolution parisienne. La Deuxième République lui succède.

De l’humour au CIG petite couronne !

LE CIG petite couronne (Centre Interdépartemental de Gestion de la petite couronne de la région d’Île-de-France) a dévoilé trois sketches humoristiques réalisés avec des artistes de « stand-up » : Tania Dutel, Charles Nouveau et Reda Saoui.

Découvrez ces clips décalés sur l’emploi dans la fonction publique territoriale. Un moyen de casser les idées reçues sur l’emploi public et de piquer la curiosité des candidats potentiels.

La territoriale en petite couronne fait son show !