Hermann Le Bas, objectif transversalité !

À 41 ans, le Bourguignon Hermann Le Bas est notre nouveau directeur général adjoint délégué aux Moyens et Innovations depuis le 10 novembre dernier.
Hermann Le Bas a eu une carrière dans la fonction publique qu’il décrit comme « sinueuse ». Avec un bac littéraire en poche en 1999, il s’inscrit  en licence de droit à l’université de Rouen sans s’y attarder car son avenir, il le voit dans la fonction publique d’État suivant les exemples dans sa famille (ses parents, son grand-père, sa tante, son arrière grand-père travaillaient pour l’État…).  « La fonction publique, c’est une histoire de famille » relate-il d’une voix douce et rieuse.
En 2003, il passe le concours d’inspecteur du Trésor Public qu’il obtient. Direction l’École du trésor à Noisiel pour 18 mois de formation. Il obtient son premier poste en tant  qu’adjoint au trésorier principal à Dieppe. En 2007, il se voit confier les rênes d’une seconde trésorerie dite « mixte », celle d’Écos (27) qui assure tant la perception des impôts que la gestion financière des 23 communes rurales dépendantes de la trésorerie. Il y reste 10 ans, jouissant d’une grande autonomie dans la gestion de celle-ci et devient en parallèle agent comptable du Musée des impressionnismes de Giverny, repris par le Conseil départemental de l’Eure. Et de préciser : « j’ai pu créer la nouvelle structure qui gère le musée, c’était une expérience très enrichissante ».

Durant ce temps, il est plongé dans le fonctionnement des collectivités locales, et cela le passionne. Devant la fermeture de la trésorerie en raison d’une réorganisation de la Direction générale des finances publiques en 2017, et voulant se rapprocher de Paris, il tente une reconversion en tant qu’huissier des Finances publiques dans le secteur nord des Hauts-de-Seine. « Expérience catastrophique, j’ai fait cela pendant 6 mois, cela ne me convenait pas » déclare-t-il avec amusement.

Avec l’envie de prendre part au fonctionnement d’une collectivité territoriale, il s’inscrit sur LinkedIn, ou il est repéré en une semaine par un cabinet de recrutement. Il rebondit donc rapidement sur un poste à Ermont (95), en détachement, où il est tour à tour directeur des affaires financières, puis directeur général adjoint pôle ressources. Il transforme cet essai et confirme son intégration en FPT. « Au bout d’un an, j’ai demandé mon rattachement à la territoriale, car cela m’a vraiment plu… le relationnel avec les élus, le fait d’être en lien direct avec les projets et avec les publics sur le terrain, de voir que les choix qui sont faits impactent la vie quotidienne des gens, de découvrir d’autres domaines d’activité».

Des désaccords et le manque d’appui de sa hiérarchie sur ses propositions le feront partir en février 2022 vers le syndicat des Eaux Hydreaulis et Aquavesc de Versailles… où il est repéré et incité à postuler à Sèvres qui cherchait un nouveau DGA moyens et innovations. Il obtient le poste.

Ayant foi en la transversalité, curieux, il espère apporter son expérience, sa patience et son côté méthodique pour créer des ponts entre la technicité et la volonté de proximité entre les services et avec les publics (prestataires, habitants). « Je trouve que les choses simples sont les meilleures, il faut savoir s’adapter à son public, et, pour moi l’expertise sur un sujet n’est pas une fin en soi… L’expertise c’est important pour traiter le sujet, mais pas pour communiquer dessus auprès des publics, il y a un risque de s’enfermer dans le sujet et ne pas atteindre son public ».

En dehors du travail, Hermann Le Bas nous confie son amour des vieilles voitures. Ce hobby l’amène à participer à des rassemblements de voitures de collection en France et à l’étranger. « Je suis allé au Portugal, et jusqu’en Croatie avec une Diane, j’aime sillonner les routes et partager ces moments avec d’autres passionnés ». Pas moins d’une dizaine de voitures, le plus souvent des Citroën, fait partie de sa collection dans sa maison à la campagne dans les Yvelines. Un coin idéal pour ses animaux : un chien braque de Weimar et deux chats, un maine-coon et un chat européen récupéré tout petit.

Exposition : Égalité femmes-hommes dans les collectivités : libérons-nous des idées reçues !

Le CIG petite couronne et le Centre Hubertine Auclert se sont associés pour concevoir un nouvel outil à destination des collectivités composé d’un livret et d’une exposition.

Du 6 au 31 mars, le service des Relations humains de la ville vous invite à découvrir l’exposition « Egalité femmes-hommes dans les collectivités : libérons-nous des idées reçues » dans le salon Saint-Omer de l’Hôtel de ville.

Composée de 9 panneaux, cette exposition vise à déconstruire les idées reçues encore répandues sur l’égalité professionnelle femmes – hommes dans les collectivités, en s’appuyant sur les chiffres-clés des inégalités, les mécanismes sexistes à l’œuvre, le cadre légal ainsi que les leviers d’actions des collectivités
Pour accompagner l’exposition, un livret est également mis à disposition sur place ou à télécharger via un QRCode.

À NOTER : Le rapport égalité femme/homme à Sèvres sera présenté au conseil municipal du mois de mars, avec un volet RH sur le suivi des actions d’égalité professionnelles femme/homme au sein de la mairie. Le précédent rapport datant de 2021 est consultable en ligne sur l’extranet de la ville rubrique « Documents utiles ».
Nous vous en reparlerons lors d’un prochain article dans la newsletter.

La formation, pensez-y !

Partenaire institutionnel de référence pour la fonction publique, le CNFPT propose de nombreuses formations pour les concours, la montée en compétences, l’évolution professionnelle… N’hésitez pas à utiliser l’outil de recherche de formation et à soumettre vos demandes à votre hiérarchie et au service des Relations humaines.

Si vous souhaitez évoluer, il est indispensable de se former pour son évolution de carrière (avancement de grade, promotion interne). Et la formation est un pré-requis pour la mobilité interne (changement de fonction ou grade), essentielle en cas de changement de métier (formation continue).

Enfin, se former tout au long de sa vie professionnelle permet d’acquérir de nouvelles compétences ou de mettre à jour ses connaissances (formation de perfectionnement).

Préparation aux concours ou examens professionnels, perfectionnement sur un logiciel métier, formation au management, formation en hygiène et sécurité, formation pour les Atsem, les policiers municipaux, les agents comptables… L’offre est vaste. Si toutefois il n’y pas celle que vous recherchez, vous pouvez aussi demander une formation par un autre organisme, qui sera soumise à avis.

Pour tout renseignement, adressez-vous au service des relations humaines ou rendez-vous sur le site de recherche de formation du cnfpt

Zoom sur les journées pédagogiques

La ville de Sèvres organise une journée pédagogique pour chacun des secteurs qui touche à l’enfance en fonction publique territoriale : la petite enfance, l’école et l’animation.

Ainsi les ATSEM, les animateurs et les agents sociaux se retrouvent en mairie pour une journée qui leur est consacrée  avec une partie théorique le matin et pratique l’après-midi, entrecoupé de moments de détente (petit-déjeuner d’ouverture  et déjeuner). Elle est inaugurée par le directeur des services ou l’un de ses adjoints et se clôture avec l’élu chargé du secteur.

Deux de ces journées se sont tenus récemment :

  • le 30 novembre dernier pour les ATSEM sur le thème du langage dans la relation enfants ATSEM avec madame Cavillon, formatrice de l’organisme « Bien-traitance ».
    Cette journée avait pour but de renforcer les acquis (adapter son langage aux enfants en école maternelle et contribuer au développement du langage des enfants), actualiser les connaissances et renforcer les compétences. Suite à cette journée très appréciée, de nombreux agents se sont inscrits en formation.
  • le 14 décembre pour les animateurs sur le thème de La communication externe avec les différents partenaires en présence de Christophe Gemmo, formateur.
    Cette journée avait pour but de permettre aux équipes de prendre conscience de leur rôle, d’analyser leurs responsabilités en matière de communication (ce que je peux dire, transmettre, de répondre à leurs interrogations, de savoir identifier ce qui relève de l’information ou de l’obligation de réserve. Elle offre des solution pour savoir réagir et gérer des situations difficiles : agressivité : maîtrise de ses émotions.

Ces journées sont avant tout l’occasion de valoriser les équipes, de créer ou renforcer une cohésion de groupe, et d’avoir une reconnaissance de ces métiers. Elles sont très appréciées des participants, qui trouvent des réponses à leurs questions, qui permettent d’échanger des idées et des pratiques.

Bienvenue aux nouveaux agents arrivés depuis le 9 décembre 2022

  • Jean-Antoine EBDONZA arrivé le 3 janvier 2023 en tant que chargé de mission sécurité à la direction de l’Urbanisme
  • Youssef MEHENNI arrivé le 3 janvier 2023 en tant qu’adjoint au directeur à l’accueil de loisirs Croix-Bosset
  • Cheikh N’DIAYE arrivé le 10 janvier tant que technicien informatique à la direction de l’Informatique et des Télécommunications
  • Hélèna RÉ arrivée le 16 janvier en tant qu’agent social à la crèche Gévelot
  • Gilles PLESSIS arrivé le 6 février en tant que dessinateur à la direction des Services techniques
  • Lydia YAMANI arrivée le 6 février en tant que Directrice de l’Espace Seniors

    Nous leur souhaitons à tous bienvenue !

A vos agendas !

 

  • 28 mars – Do it Yourself  Produit ménager :
    Venez réaliser votre produit ménager maison, écologique et économique. Rendez-vous dans la nouvelle salle de réunion de la mezzanine.
  • 4 avril – La culture hydroponique :
    Saviez-vous que l’on peut cultiver ses fruits et légumes sans terre ? Venez découvrir l’hydroponie.
    Pour cet atelier, rendez-vous dans le salon Saint-Omer.
  • 18 avril-  Plantations / repiquage des semis :
    Il est temps de repiquer nos semis de mars et de planter de nouveaux légumes.
  • 9 mai- Atelier répulsif limaces :
    Notre potager a une biodiversité qui foisonne ! Mais pour éviter que limaces et escargots ne viennent dévorer toute notre récolte, venez confectionner un répulsif maison et naturel.
  • 23 mai – Atelier aromates :
    Les aromates sont excellents en cuisine mais peuvent aussi être objets de décoration. Venez confectionner votre bouquet d’aromates ! 
  • 6 juin – Bouturage :
    La Nature est si bien faite que l’on peut démultiplier les plantes par bouturage.
  •  20 juin –  Arrosage automatique économe en eau :
    L’été arrive ! En prévision des vacances qui approchent, venez apprendre à fabriquer vous-même un système d’arrosage automatique au goutte à goutte.Pour rappel, les inscriptions sont limitées à 10 participants par atelier. Chaque atelier se déroule de 12h30 à 13h15.

Un passionné de chevaux au service courrier

Vous croisez probablement Pierre-Yves Rima du service courrier si vous êtes en mairie… Mais saviez-vous qu’à ses heures perdues, Pierre-Yves Rima se passionne par les courses de chevaux ?

« Petit mon grand-père m’emmenait sur les hippodromes, puis, ce fut au tour de mon père. Ca fait à peu près 10-15 ans que j’y vais régulièrement. Au début c’était pour le jeu des courses. Aujourd’hui, j’ai plusieurs casquettes :  propriétaire, éleveur et photographe ».

Ce Sévrien de toujours âgé de 39 ans s’est intéressé à l’envers du décor du monde hippique il y a une dizaine d’années. À force de fréquenter les hippodromes (Auteuil, Saint-Cloud, Lonchamps, Deauville, Cagnes-sur-Mer…),  il s’est mis à photographier ce monde hippique souvent mal connu, qui véhicule une image d’inaccessibilité. Il publie ses photos sur une page facebook dédiée et atteint 15 000 abonnés, généralement des professionnels (cavaliers, entraineurs, propriétaires…) et des passionnés.

Ces photos montrent le travail des gens de l’ombre, ceux qui se lèvent à 5 h du matin pour s’occuper des chevaux, et des écuries… « Quand je voyais mon grand-père jouer au tiercé étant gamin, jamais je n’aurais pensé que je pourrai entrer dans ce monde. On pense que le milieu hippique est fermé, mais dès que tu t’intéresses aux gens, ceux qu’on ne voit pas d’habitude… et bien les gens se montrent plus ouverts. Je voulais rendre visible leur travail » explique Pierre-Yves Rima.

Petit à petit, il s’investit un peu plus et devient propriétaire de chevaux de courses. Il possède en « copropriété » deux chevaux Kundrie (course à plat) et Jonque Bleu (course d’obstacles), ainsi qu’un poulain Atout Treffles de 14 mois.
Attaché à ses chevaux, il veille à ce qu’ils aient une retrait bien méritée.
« Tous les chevaux que j’ai eus ont été reclassés lorsqu’ils ne pouvaient plus courir ».

Cette passion lui prend énormément de temps durant ses week-ends et ses vacances… mais c’est un temps de plaisir. Il aime le partager avec ses neveux et est prêt à faire découvrir ce monde aux collègues, alors n’hésitez pas à lui parler de sa passion au prochain dépôt de courrier !

Vous pouvez découvrir sa passion sur sa page facebook :
Le turf vu d’un autre œil

Pamela Polynice, directrice du centre de loisirs Gévelot

Originaire de Guadeloupe, Pamela Polynice, 41 ans, a commencé à travailler à Sèvres en septembre 2008 en tant qu’animatrice dans les centres Beauregard – Gévelot et Bruyères.
Elle a passé son BAFA en 2005, après avoir testé plusieurs voies au terme de son BTS Économie sociale et familiale en Guadeloupe. « J’ai découvert plein de choses, je cherchais ma voie… et je suis finalement tombée dans le monde de l’animation en passant mon BAFA ». Pamela Polynice nous parle de son investissement dans les pompiers volontaires en parallèle de ses études, un monde masculin où elle a su faire sa place grâce à sa détermination, son dynamisme et sa bonne humeur. Chaque été en Guadeloupe, elle partait en intervention. Cette expérience enrichissante a aussi été un atout en tant qu’animatrice.

Pamela a exercé son métier dans plusieurs villes notamment à Aulnay-sous-Bois et Rosny-sous-Bois, et et pour des colonies de vacances. « Ce qui m’intéressait dans le métier, c’était de pouvoir jongler entre les accueils et les colonies. La proximité avec les enfants est différente  ». Et de préciser : « j’ai grandi en colo’… mes parents m’envoyaient en colonie dans les villes où les petites îles. Cela me permettait de rencontrer d’autres personnes, de connaître d’autres choses ». Souhaitant plus de stabilité, elle décide de se fixer dans l’animation périscolaire et postule à Sèvres. Après de nombreuses années à travailler en tant qu’animatrice, elle a souhaité évoluer vers plus de responsabilité et a passé son BFD pour devenir adjointe. Elle accède à la fonction de directrice en 2014. « Je connais toutes les structures, toutes les écoles de Sèvres. J’ai beaucoup appris de mes collègues » poursuit-elle. Enfin en 2022, elle est nommée directrice du centre Gévelot.

Depuis son arrivée en France en 2008, elle n’a jamais quitté Sèvres. « J’ai trouvé un bel équilibre à Sèvres. J’ai préféré déménager plutôt que de changer d’emploi » affirme-t-elle.
« La vie de famille reste prioritaire, mais j’arrive à équilibrer travail et vie personnelle. C’est l’avantage d’être une femme, on arrive à trouver le consensus entre les deux, ce n’est pas donné à tout le monde… Aujourd’hui, de plus en plus d’hommes s’investissent dans la sphère privée. À la maison, avec mon conjoint c’est 50/50. »

Coté loisirs, elle lit beaucoup, sort, et joue au handball… Mais surtout, elle se passionne pour les Spaces invader, ces mosaïques qui fleurissent sur les murs des grandes villes du monde. Un loisir partagé en famille qui permet de longues balades…

Émilie Bienvenu, technicienne chargée de la propreté bâtiments et espaces publics

Arrivée en septembre 2021 à Sèvres, Émilie, 37 ans, s’occupe du suivi du nettoyage dans les bâtiments communaux ainsi que de la maintenance/ remplacement des matériels dans les offices et les buanderies des écoles et des crèches.  Avant d’arriver à Sèvres, elle a essentiellement travaillé en restauration collective en tant que responsable qualité, au centre hospitalier de Versailles où elle est restée pendant 9 ans, puis à la cuisine centrale de Paris 20e.

Après un Bac scientifique, elle s’inscrit en BTS diététique, puis change d’orientation vers un domaine qui l’intéresse plus, la biologie et la microbiologie. Elle poursuit ses études en Île-de-France en licence professionnelle qualité et sécurité alimentaire, lui permettant de travailler en tant que responsable qualité.

Elle se décrit comme consciencieuse, plutôt réservée mais joviale. En tant que femme, elle n’a éprouvé aucune difficulté à s’intégrer dans son service, que ce soit personnellement ou professionnellement.

Originaire de Bretagne, du côté de Lorient, et n’ayant pas d’enfant, elle peut assouvir sa passion des voyages, plutôt de type trek et randonnée à l’étranger. « Je suis allée deux fois au Népal, j’aime découvrir de nouvelles contrées, les paysages, rencontrer les peuples, je trouve cela très enrichissant ».
Son carnet de voyages est assez riche : Asie (Népal, Indonésie, Thailande, Sri Lanka), Amérique du Nord, Caraïbes, et Afrique (Maroc, tunisie, Bénin). Elle est aussi adepte de running.

Bernadette Tuttle, agent d’accueil au CCAS

Bernadette Tuttle plus connue sous le nom de « Betty » travaille au Centre Communal d’Action Sociale de la ville de Sèvres depuis octobre 2022, en tant qu’agent d’accueil et d’accompagnement.
Elle est en charge d’accueillir les administrés, de les écouter et de les orienter, de constituer et mettre à jour des dossiers. Avec un père militaire d’origine martiniquaise et une mère espagnole catalane, Betty a vécu dans plusieurs pays pendant sa jeunesse, dont l’Allemagne et appris plusieurs langues (français, espagnol, allemand, créole, catalan). Cette diversité culturelle lui a permis de débuter sa vie active en tant qu’assistante de direction trilingue dans une brasserie au Gabon pendant une dizaine d’années, et d’être un lien entre les ouvriers et les cadres du fait de son métissage.

La maladie de sa petite fille la force à quitter cette situation confortable et à rentrer en France en 1996 où elle retrouve du travail. Cette nouvelle vie l’oblige à partager son temps entre travail, crèche et domicile, l’expérience d’un enfant malade lui  apprend à être combattante… Pour gérer librement son emploi du temps, assurer les rendez-vous médicaux et élever ses deux enfants, Betty décide de changer de métier et de statut en se formant à l’onglerie et en ouvrant sa propre entreprise.
Ces enfants désormais grands et sur le départ (sa fille a 32 ans et son garçon a 21 ans), Betty a voulu se lancer un nouveau défi, devenir hypnopraticienne, mais la crise induite par le COVID l’y a fait renoncer, les patients cherchant plus un appui psychologique.

Après ces différentes expériences professionnelles, à 54 ans, elle a finalement souhaité retrouver une vie de bureau avec des collègues « pour avoir une vie sociale différente, car la clientèle ce n’est pas la même chose ».  Elle explique : « je cherchais à travailler avec l’humain, la relation à l’autre… J’avais déjà postulé à la mairie sur un autre poste, mais cela n’avait pas abouti. J’ai été rappelé pour ce poste au CCAS. Je l’ai vécu comme une évidence. Je me suis bien intégrée à l’équipe, je trouve qu’on est soudés ».
En dehors du travail, elle aime pratiquer les danses latines, le fitness et la cuisine.